C’est le bras de fer entre les populations de ces localités et le préfet de Saint-Louis. En effet, si la décision du préfet est mise à exécution près de 2000 familles vont dormir à la belle étoile. En effet selon la décision préfectorale ces familles occupent des lieux sans titre ni autorisation ce qui est une violation grave de la loi à ses yeux, c’est pourquoi l’autorisation préalable de police administrative de quitter sans délais les lieux.
Le préfet d’avertir les occupants de ces sites qui appartiennent à l’Agence des aéroports du Sénégal (ADS) « au cas où cette sommation ne serait pas respectée nous nous verrons dans l’obligation d’appliquer à votre encontre les mesures plus coercitives », prévient le préfet.
Le Préfet nous trouvera sur son chemin
Sommées de quitter les lieux, les populations ont fait face à la presse pour tirer sur la sonnette d’alarme et qu’elles ne se laisseront pas faire « Le préfet nous trouvera sur son chemin. Nous ne bougerons d’un iota. Nous allons nous battre au prix de notre vie pour sauvegarder nos biens que nous avons acquis honnêtement à la sueur de notre front. Il y a des populations qui occupent le site depuis plus de 40 ans, avant de souligner que les services techniques de l’Etat qui s’activent dans le foncier avait fermé les yeux lors de leur implantation », souligne leur porte-parole Yamar Diop dans le journal Enquête de ce jeudi.
Le préfet d’avertir les occupants de ces sites qui appartiennent à l’Agence des aéroports du Sénégal (ADS) « au cas où cette sommation ne serait pas respectée nous nous verrons dans l’obligation d’appliquer à votre encontre les mesures plus coercitives », prévient le préfet.
Le Préfet nous trouvera sur son chemin
Sommées de quitter les lieux, les populations ont fait face à la presse pour tirer sur la sonnette d’alarme et qu’elles ne se laisseront pas faire « Le préfet nous trouvera sur son chemin. Nous ne bougerons d’un iota. Nous allons nous battre au prix de notre vie pour sauvegarder nos biens que nous avons acquis honnêtement à la sueur de notre front. Il y a des populations qui occupent le site depuis plus de 40 ans, avant de souligner que les services techniques de l’Etat qui s’activent dans le foncier avait fermé les yeux lors de leur implantation », souligne leur porte-parole Yamar Diop dans le journal Enquête de ce jeudi.