Chaud mardi à Ziguinchor. Obligeant même l’Armée à intervenir. Pas à cause des rebelles mais de la violence qui accompagne la campagne électorale en vue des locales de ce 29 juin. En partance pour Dakar, Abdoulaye Baldé encadré par ses militants, était à l’aéroport. Au moment où son rival du camp du pouvoir, Benoît Sambou renforcé par Youssou Ndour et Moustapha Diakhaté était aussi sur place. Commencent les huées du camp de l’ancien ministre sous Wade puis la riposte du camp présidentiel. Puis les coups de poings. Même le ministre de la République n'était pas en reste. Benoît Sambou faisant partie des empoignades. Et c’est là que le pire s’est produit.
Des coups de feu tonnent dans l’air. N’eût été l’intervention de l’Armée ? Le président de la majorité parlementaire BBY, regrette et réclame une « campagne civilisée ». Pour le camp adverse ; « les responsables de BBY n’ont pas d’argument à faire valoir. Il ne leur reste que la violence…De toute les façons, ils vont subir une raclée cinglante au soir du 29 juin ». Youssou Ndour, pour sa part, semble s’être déplacé pour rien.
Des coups de feu tonnent dans l’air. N’eût été l’intervention de l’Armée ? Le président de la majorité parlementaire BBY, regrette et réclame une « campagne civilisée ». Pour le camp adverse ; « les responsables de BBY n’ont pas d’argument à faire valoir. Il ne leur reste que la violence…De toute les façons, ils vont subir une raclée cinglante au soir du 29 juin ». Youssou Ndour, pour sa part, semble s’être déplacé pour rien.