Les membres de l’Alliance pour la république (Apr) prennent le contre-pied de l’opposition en ce qui concerne la loi sur le parrainage. En effet, selon Seydou Guèye, cette mesure, en plus de ne pas être une nouveauté, vient corriger une disparité qui a longtemps été en vigueur au Sénégal.
«Concernant le débat sur le parrainage, l’Alliance pour la République (Apr) tient à rappeler qu’il ne s’agit point d’une innovation constitutionnelle», a indiqué le porte-parole du parti présidentiel dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
Le document d’informer qu’«à cet égard, le parrainage citoyen, élargi à tous les candidats à la présidentielle, n’agit pas sur le mode de scrutin qui reste inchangé. Au contraire, il met fin à une discrimination en rétablissant l’égalité entre les candidats indépendants et les candidats présentés par des partis politiques ou des coalitions de partis politiques à la candidature».
Selon M. Guèye, cette loi «ne saurait souffrir d’aucune confusion sémantique. Les termes du dialogue politique ont été respectés dans la mise en œuvre de ce processus qui a abouti à la saisine de l’Assemblée nationale, l’espace de dialogue par excellence, entre la majorité et l’opposition».
Répondant à l’opposition qui a promis de rééditer un nouveau «23 juin», les partisans du Président Sall préviennent qu’ils n’accepteront pas «le plan de fragilisation de la démocratie sénégalaise ourdi par une frange de l’opposition en perte de vitesse et principalement préoccupée par le « ôte-toi de là que je m'y mette».
«Concernant le débat sur le parrainage, l’Alliance pour la République (Apr) tient à rappeler qu’il ne s’agit point d’une innovation constitutionnelle», a indiqué le porte-parole du parti présidentiel dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
Le document d’informer qu’«à cet égard, le parrainage citoyen, élargi à tous les candidats à la présidentielle, n’agit pas sur le mode de scrutin qui reste inchangé. Au contraire, il met fin à une discrimination en rétablissant l’égalité entre les candidats indépendants et les candidats présentés par des partis politiques ou des coalitions de partis politiques à la candidature».
Selon M. Guèye, cette loi «ne saurait souffrir d’aucune confusion sémantique. Les termes du dialogue politique ont été respectés dans la mise en œuvre de ce processus qui a abouti à la saisine de l’Assemblée nationale, l’espace de dialogue par excellence, entre la majorité et l’opposition».
Répondant à l’opposition qui a promis de rééditer un nouveau «23 juin», les partisans du Président Sall préviennent qu’ils n’accepteront pas «le plan de fragilisation de la démocratie sénégalaise ourdi par une frange de l’opposition en perte de vitesse et principalement préoccupée par le « ôte-toi de là que je m'y mette».