Les personnes vivant avec un handicap dans la région de Louga n’ont toujours pas reçu leur cartes d’égalité des chances. Sans cette carte, ces personnes se voient refuser l’accès au soin médical et au transport.
« Sur les 2444 personnes qui doivent être enrôlées dans les mutuels de santé, seules 1300 sont enrôlées. Il y en a certaines qui ont leurs cartes mais n’ont pas encore leur carnet de mutuel de santé », a expliqué Cheikh Moctar Khar Fall, chef du service régional de l’action social de Louga.
Sur la même longueur d'ondes que . Fall, Ibrahima Sène, président de l’association Handicap-Form-Educ tonne : «de sérieux problèmes sont notés dans les services de santé. Parce que si vous présentez votre carte au niveau des services, il n’est pas reconnu. Hors, la carte doit être accompagnée d’une lettre venant de l’autorité compétente. Dans les hôpitaux, les médecins refusent de prendre en charge le patient avec la carte».
Pour sa part, Fatou Mbodj étale une autre difficulté. «Les patients ont des problèmes de prise en charge de leur santé. Puisque, à l’hôpital, les médecins ne tiennent pas compte des cartes. En ce qui concerne le transport, c’est encore pire. Parce que, quand nous prenons des bus Tata, parfois, ils ne sont pas acceptés par ces derniers. Dans ce cas, on est obligé de payer pour monter dans le bus ».
« Sur les 2444 personnes qui doivent être enrôlées dans les mutuels de santé, seules 1300 sont enrôlées. Il y en a certaines qui ont leurs cartes mais n’ont pas encore leur carnet de mutuel de santé », a expliqué Cheikh Moctar Khar Fall, chef du service régional de l’action social de Louga.
Sur la même longueur d'ondes que . Fall, Ibrahima Sène, président de l’association Handicap-Form-Educ tonne : «de sérieux problèmes sont notés dans les services de santé. Parce que si vous présentez votre carte au niveau des services, il n’est pas reconnu. Hors, la carte doit être accompagnée d’une lettre venant de l’autorité compétente. Dans les hôpitaux, les médecins refusent de prendre en charge le patient avec la carte».
Pour sa part, Fatou Mbodj étale une autre difficulté. «Les patients ont des problèmes de prise en charge de leur santé. Puisque, à l’hôpital, les médecins ne tiennent pas compte des cartes. En ce qui concerne le transport, c’est encore pire. Parce que, quand nous prenons des bus Tata, parfois, ils ne sont pas acceptés par ces derniers. Dans ce cas, on est obligé de payer pour monter dans le bus ».