Pour la limite d’âge à 45 ans, Alioune Sarr et son équipe restent inflexibles. «Le règlement est très clair, on est lutteur entre 18 et 45 ans. Pour être lutteur, il faut être en possession d’une licence en cours de validité. Celui qui a plus de 45 ans n’est plus un lutteur. Si je fais une dérogation pour tous ceux qui en demanderont demain, cela veut dire qu’il faut supprimer la limite d’âge», tranche Alioune Sarr reconduit à la tête du Comité National de Gestion (CNG) de lutte, hier.
Des propos qui scellent le sort du lutteur Baboye. Né le 26 novembre 1971, le «Mbarodi» (lion) a atteint les 45 ans d’âge limite fixée par le CNG pour faire valoir ses droits à la retraite. Un sort cruel pour le chef de file de l’écurie Haal Puulaar qui n’a pas envie d’arrêter. Car le promoteur Mansour Aw veut l’opposer à Rocky Balboa pour un combat au Mali, renseigne «L’As». La source de préciser que le promoteur peut d’ores et déjà oublier ce duel car dans ce sillage, Alioune Sarr a tenu à mettre les points sur les «i» sur un éventuel combat au Mali.
«Le Mali a une Fédération de lutte, les compétitions qui se passent au Mali sont sous la gestion de cette fédération de lutte. Si des Sénégalais titulaires de licence en activité doivent quitter le pays pour aller ailleurs, ils doivent obligatoirement avoir l’autorisation du Comité national», dit-il avant de poursuivre: «Quand une liste de lutteurs me sera proposée pour aller lutter au Mali, s’ils sont en activité, nous prendrons langue avec notre homologue, d’autant plus qu’il y a un protocole qui lie les fédérations sénégalaises, maliennes et gambiennes».
Des propos qui scellent le sort du lutteur Baboye. Né le 26 novembre 1971, le «Mbarodi» (lion) a atteint les 45 ans d’âge limite fixée par le CNG pour faire valoir ses droits à la retraite. Un sort cruel pour le chef de file de l’écurie Haal Puulaar qui n’a pas envie d’arrêter. Car le promoteur Mansour Aw veut l’opposer à Rocky Balboa pour un combat au Mali, renseigne «L’As». La source de préciser que le promoteur peut d’ores et déjà oublier ce duel car dans ce sillage, Alioune Sarr a tenu à mettre les points sur les «i» sur un éventuel combat au Mali.
«Le Mali a une Fédération de lutte, les compétitions qui se passent au Mali sont sous la gestion de cette fédération de lutte. Si des Sénégalais titulaires de licence en activité doivent quitter le pays pour aller ailleurs, ils doivent obligatoirement avoir l’autorisation du Comité national», dit-il avant de poursuivre: «Quand une liste de lutteurs me sera proposée pour aller lutter au Mali, s’ils sont en activité, nous prendrons langue avec notre homologue, d’autant plus qu’il y a un protocole qui lie les fédérations sénégalaises, maliennes et gambiennes».