Le Mcar ne parle pas le même langage avec ceux qui disent que le Sénégal peut compter sur de pétrole et de gaz pour émerger. Selon son coordonnateur national, cette émergence « doit passer inévitablement par un encadrement et l'accompagnement des femmes par les pouvoirs public».
«On parle de pétrole par-ci et par-là, au moment où les populations à la base souffrent. On n’a pas besoin actuellement de pétrole pour développer le Sénégal», avance Papa Moustapha Ndiaye
Pour lui, la formation est primordiale, avant de développer une communauté il faut d’abord la former. Croire profondément que le développement est quelque chose d’androgène, la communauté ou la personne se développe elle-même. Les mettre sous carcan des économies hebdomadiers ou mensuelles pendant une durée déterminée, c’est une manière de les rendre autonomes, indépendants».
Poursuivant, il ajoute : « le socle du développent, c’est la femme. Au moment où je vous parle nous n’avons pas de coloration politique. On a déjà fait sept (7) régions, les gens se sentent délaissés particulièrement les femmes».
Le Mcar était dans la région de Tambacounda pour former des dizaines de femmes dans la production du savon, de l’eau de javel mais aussi à fabriquer des récipients ( glacières) pour la conservation de certains aliments au froid.
«On parle de pétrole par-ci et par-là, au moment où les populations à la base souffrent. On n’a pas besoin actuellement de pétrole pour développer le Sénégal», avance Papa Moustapha Ndiaye
Pour lui, la formation est primordiale, avant de développer une communauté il faut d’abord la former. Croire profondément que le développement est quelque chose d’androgène, la communauté ou la personne se développe elle-même. Les mettre sous carcan des économies hebdomadiers ou mensuelles pendant une durée déterminée, c’est une manière de les rendre autonomes, indépendants».
Poursuivant, il ajoute : « le socle du développent, c’est la femme. Au moment où je vous parle nous n’avons pas de coloration politique. On a déjà fait sept (7) régions, les gens se sentent délaissés particulièrement les femmes».
Le Mcar était dans la région de Tambacounda pour former des dizaines de femmes dans la production du savon, de l’eau de javel mais aussi à fabriquer des récipients ( glacières) pour la conservation de certains aliments au froid.