Le ministère de l’Environnement veut renforcer le dispositif de répression mise en place contre le pillage des ressources forestières. Pour cela, il a décidé de former ses agents dans le cadre juridique.
«Il y a de fortes mesures qui ont été prises pour lutter contre le trafic illicite de bois. Il s’agit aujourd’hui, de renforcer les capacités des agents sur le plan juridique. Qu’ils soient mieux formés sur les techniques de rédaction, d’investigation, afin qu’on puisse avoir des procédures qui puissent être déférées devant les juridictions compétentes et par conséquent, une répression conséquente y suive », a déclaré le procureur de la République près du tribunal de Grande instance de Ziguinchor.
Alioune Abdoulaye Sylla est d’avis que si les règles de procédures ne sont pas bien respectées par les agents chargés de la rédaction des procès-verbaux, «on risque d’aboutir à la nullité de ces procès-verbaux et ça risque d’entamer les efforts qui ont été consentis dans le cadre de la lutte contre le trafic illicite des ressources forestières».
«Il y a de fortes mesures qui ont été prises pour lutter contre le trafic illicite de bois. Il s’agit aujourd’hui, de renforcer les capacités des agents sur le plan juridique. Qu’ils soient mieux formés sur les techniques de rédaction, d’investigation, afin qu’on puisse avoir des procédures qui puissent être déférées devant les juridictions compétentes et par conséquent, une répression conséquente y suive », a déclaré le procureur de la République près du tribunal de Grande instance de Ziguinchor.
Alioune Abdoulaye Sylla est d’avis que si les règles de procédures ne sont pas bien respectées par les agents chargés de la rédaction des procès-verbaux, «on risque d’aboutir à la nullité de ces procès-verbaux et ça risque d’entamer les efforts qui ont été consentis dans le cadre de la lutte contre le trafic illicite des ressources forestières».