Si les parties respectent leurs engagements, la première phase de la lutte contre les FDLR en République démocratique du Congo doit démarrer d’ici au 15 octobre. Cette phase comprend plusieurs points : analyser le niveau de la menace, localiser les combattants et leurs équipements, sensibiliser les communautés locales, rappelle Patient Ligodi du service Afrique.Il est aussi question de partager des informations sur les FDLR et leurs groupes dissidents, mais aussi sur les mesures dites « de défense » mises en place par le Rwanda — que Kinshasa traduit par la présence de troupes rwandaises sur son sol.
Contacté par RFI, le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, affirme que Kigali a déjà transmis des informations lors des premières réunions, y compris à la médiation. Et il attend que Kinshasa fasse de même.
Au cours de leur réunion à Washington, les participants (états-uniens, congolais, rwandais, qatarien et membres de l’Union africaine) ont évalué la situation. Ils constatent aussi que les combats se poursuivent, notamment dans le territoire de Walikale, au Nord-Kivu.
Contacté par RFI, le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, affirme que Kigali a déjà transmis des informations lors des premières réunions, y compris à la médiation. Et il attend que Kinshasa fasse de même.
Au cours de leur réunion à Washington, les participants (états-uniens, congolais, rwandais, qatarien et membres de l’Union africaine) ont évalué la situation. Ils constatent aussi que les combats se poursuivent, notamment dans le territoire de Walikale, au Nord-Kivu.