Drouant, à Paris, où sont délivrés les prix Renaudot et Goncourt. (Photo Jacques Demarthon. AFP)
Lydie Salvayre a été couronnée mercredi par le Goncourt, le plus connu des prix littéraires français, pour Pas pleurer, un roman sur la guerre d’Espagne hanté par la figure de l’écrivain Georges Bernanos et la voix de sa propre mère. Pas pleurer(Seuil) a été choisi par les jurés au 5e tour, par 5 voix contre 4 à l’Algérien Kamel Daoud, auteur de Meursault contre-enquête.
«Je suis très heureuse, je suis très émue», a dit Lydie Salvayre, les larmes aux yeux, en se faufilant dans la cohue des journalistes rassemblés au restaurant Drouant, dans le centre de Paris, où est traditionnellement décernée cette récompense. Le roman de cette auteure française est hanté par la figure de Georges Bernanos et la voix de sa propre mère qui lui raconte au soir de sa vie l’insurrection libertaire de 1936 en Espagne.
«Je suis très heureuse, je suis très émue», a dit Lydie Salvayre, les larmes aux yeux, en se faufilant dans la cohue des journalistes rassemblés au restaurant Drouant, dans le centre de Paris, où est traditionnellement décernée cette récompense. Le roman de cette auteure française est hanté par la figure de Georges Bernanos et la voix de sa propre mère qui lui raconte au soir de sa vie l’insurrection libertaire de 1936 en Espagne.