«Le Sénégal vient de perdre un grand fils, une vitrine internationale, un patrimoine de notre culture que nous devons honorer et dont l’œuvre doit être perpétuée par les jeunes talents », a indiqué le chef de l’Etat lors de la cérémonie de levée du corps de Habib Faye à l’hôpital Principal de Dakar.
Macky Sall de poursuivre : «C’est une perte immense, celle d’un homme réputé pour sa discrétion, généreux avec discipline sans égale, une exigence dans sa quête constance de perfection». Avant d’ajouter que le défunt est «parti avec dignité, en silence comme pour nous épargner la souffrance de sa disparition».
Le Président Sall qui a tenu à rendre hommage à l’ex musicien compositeur a avoué qu’il a du reporter son déplacement pour Brazzaville pour assister à cette cérémonie.
Revisitant l’œuvre du désormais ex-compagnon de Youssou Ndour, il a soutenu que : «Pour un néophyte comme moi, j’ai apprécié son talent le long de son compagnonnage avec Youssou Ndour mais surtout avec son œuvre H20. Sa musique nous touchait tous parce qu’elle partait toujours de ce que nous sommes, de ce que nous sentons pour nous entraîner vers des rythmes et des mélodies bien loin de notre quotidien».
Habib Faye a été conduit à sa dernière demeure où il repose désormais auprès de ses parents.
Macky Sall de poursuivre : «C’est une perte immense, celle d’un homme réputé pour sa discrétion, généreux avec discipline sans égale, une exigence dans sa quête constance de perfection». Avant d’ajouter que le défunt est «parti avec dignité, en silence comme pour nous épargner la souffrance de sa disparition».
Le Président Sall qui a tenu à rendre hommage à l’ex musicien compositeur a avoué qu’il a du reporter son déplacement pour Brazzaville pour assister à cette cérémonie.
Revisitant l’œuvre du désormais ex-compagnon de Youssou Ndour, il a soutenu que : «Pour un néophyte comme moi, j’ai apprécié son talent le long de son compagnonnage avec Youssou Ndour mais surtout avec son œuvre H20. Sa musique nous touchait tous parce qu’elle partait toujours de ce que nous sommes, de ce que nous sentons pour nous entraîner vers des rythmes et des mélodies bien loin de notre quotidien».
Habib Faye a été conduit à sa dernière demeure où il repose désormais auprès de ses parents.