Même s’il se défend d’être élu «pour l’emploi», la question n’en demeure pas l’une des priorités du président de la République. Ce dernier dans l’avion le ramenant au Sénégal, après un séjour en France, a révélé la place qu’il occupe dans son programme : «Je pense que tous les jours, le plus dur de mon temps est consacrée à la création de richesse et à la création d’emplois. Cela veut dire que nous créons des conditions du développement de l’investissement à la fois public et privé».
Sur les mécanismes pour favoriser ces investissements, le président de la République déclare : «créer les conditions de l’investissement public en le cadre de gestion budgétaire, en mettant plus de ressources sur l’investissement qui génère plus d’emplois, mais aussi en améliorant le climat des affaires et attirer davantage d’investissement privés. C’est par l’entreprise que l’on crée l’emploi».
Selon le Chef de l’Etat, ce travail qu’il a fourni commence à payer : «Créer des emplois est mon obsession. Mais cette obsession commence à donner les fruits puisque nous avons vu l’évolution des emplois tant publics que privés», a-t-il déclaré.
Cette évolution, le président l’a chiffré. En effet, il a affirmé que : «rien que sur le public, nous avons créé sur ces trois dernières années près de 60 mille emplois officiels». Et de préciser : «Cela veut dire que tout ce qui n’est pas signalé n’en fait pas partie. Et bien sûr l’emploi agricole n’est pas comptabilisé parce que nous n’avons pas des statistiques de ce point de vue».
Sur les mécanismes pour favoriser ces investissements, le président de la République déclare : «créer les conditions de l’investissement public en le cadre de gestion budgétaire, en mettant plus de ressources sur l’investissement qui génère plus d’emplois, mais aussi en améliorant le climat des affaires et attirer davantage d’investissement privés. C’est par l’entreprise que l’on crée l’emploi».
Selon le Chef de l’Etat, ce travail qu’il a fourni commence à payer : «Créer des emplois est mon obsession. Mais cette obsession commence à donner les fruits puisque nous avons vu l’évolution des emplois tant publics que privés», a-t-il déclaré.
Cette évolution, le président l’a chiffré. En effet, il a affirmé que : «rien que sur le public, nous avons créé sur ces trois dernières années près de 60 mille emplois officiels». Et de préciser : «Cela veut dire que tout ce qui n’est pas signalé n’en fait pas partie. Et bien sûr l’emploi agricole n’est pas comptabilisé parce que nous n’avons pas des statistiques de ce point de vue».