Le président Macky Sall a déclaré lundi dans un discours, qu'il comprenait les inquiétudes et les préoccupations de la jeunesse sénégalaise, à la suite de violentes manifestations nées de l'arrestation de l'opposant Ousmane Sonko.
"J’ai vu nombre d’entre vous sortir dans la rue pour exprimer la colère de votre mal-vivre ; parce que vous n’avez pas d’emploi ; parce que vous aspirez à un avenir meilleur ; parce que depuis un an de lutte anti pandémie COVID-19, votre quotidien reste marqué par la morosité économique, les restrictions sociales et la limitation des espaces de loisirs et de détente", a reconnu M. Sall.
Le président Macky Sall a affirmé de nouveau qu'il engagerait une allocation budgétaire pour les jeunes. "J’engagerai dans les meilleurs délais une réorientation des allocations budgétaires pour améliorer de façon substantielle et urgente les réponses aux besoins des jeunes en termes de formation, d’emploi, de financement de projets et de soutien à l’entreprenariat et au secteur informel".
Il n'a pas manqué de rappeler l'échec des politiques et plans qui ont été mises en place pour plus de dynamisme et productivité et la création de travail chez les jeunes. "Je constate que tous les efforts jusque-là consentis, en matière de formation, d’emploi et de financement dédiés aux jeunes, à hauteur de 60 milliards de fcfa, pour la Délégation générale à l’Entreprenariat rapide des Femmes et des Jeunes, et de 40 milliards par an du Fonds de Financement de la Formation professionnelle et technique, restent encore insuffisants".
En même temps, il a invité la population à éviter "de participer à tout ce qui nous retarde dans la quête d’un avenir meilleur. « Quand on saccage un commerce, quand on s’attaque au bien d’autrui, on ne crée pas de l’emploi, on en détruit ; on ne fait pas reculer la pauvreté, on l’aggrave ».
Pour rappel, le 2 avril 2019, dans son discours d’investiture, Macky Sall s’était engagé à renforcer les acquis de son premier mandat par la mise en œuvre de la deuxième phase du Plan Sénégal Emergent. Il veut accorder une place de choix à la jeunesse. "Cette jeunesse vibrante et créative qui incarne l’espoir et la force vitale de la nation restera au premier rang de mes priorités. En conséquence, des efforts encore plus soutenus seront consacrés à l’emploi et à l’employabilité des jeunes", avait déclaré le chef de l'Etat sénégalais.
"J’ai vu nombre d’entre vous sortir dans la rue pour exprimer la colère de votre mal-vivre ; parce que vous n’avez pas d’emploi ; parce que vous aspirez à un avenir meilleur ; parce que depuis un an de lutte anti pandémie COVID-19, votre quotidien reste marqué par la morosité économique, les restrictions sociales et la limitation des espaces de loisirs et de détente", a reconnu M. Sall.
Le président Macky Sall a affirmé de nouveau qu'il engagerait une allocation budgétaire pour les jeunes. "J’engagerai dans les meilleurs délais une réorientation des allocations budgétaires pour améliorer de façon substantielle et urgente les réponses aux besoins des jeunes en termes de formation, d’emploi, de financement de projets et de soutien à l’entreprenariat et au secteur informel".
Il n'a pas manqué de rappeler l'échec des politiques et plans qui ont été mises en place pour plus de dynamisme et productivité et la création de travail chez les jeunes. "Je constate que tous les efforts jusque-là consentis, en matière de formation, d’emploi et de financement dédiés aux jeunes, à hauteur de 60 milliards de fcfa, pour la Délégation générale à l’Entreprenariat rapide des Femmes et des Jeunes, et de 40 milliards par an du Fonds de Financement de la Formation professionnelle et technique, restent encore insuffisants".
En même temps, il a invité la population à éviter "de participer à tout ce qui nous retarde dans la quête d’un avenir meilleur. « Quand on saccage un commerce, quand on s’attaque au bien d’autrui, on ne crée pas de l’emploi, on en détruit ; on ne fait pas reculer la pauvreté, on l’aggrave ».
Pour rappel, le 2 avril 2019, dans son discours d’investiture, Macky Sall s’était engagé à renforcer les acquis de son premier mandat par la mise en œuvre de la deuxième phase du Plan Sénégal Emergent. Il veut accorder une place de choix à la jeunesse. "Cette jeunesse vibrante et créative qui incarne l’espoir et la force vitale de la nation restera au premier rang de mes priorités. En conséquence, des efforts encore plus soutenus seront consacrés à l’emploi et à l’employabilité des jeunes", avait déclaré le chef de l'Etat sénégalais.