«Le système électoral sénégalais est un système transparent, ça ne date pas d’aujourd’hui, s’il ne l’était pas, je n’aurais pas perdu quelques localités essentielles. Si on avait les moyens, vous croyez que j’aurais eu 25% au référendum à Touba ? » C’est propos sont du chef de l’Etat Macky Sall qui se prononçait sur l’une des revendications de l’opposition sénégalaise qui exige la nomination d’un militaire comme l’avait fait Abdou Diouf, pour se charger d’organiser les élections.
Mais, cette revendication est considérée par le Président Sall comme capricieuse d’autant plus que, selon lui, l’appartenance politique du ministre de l’Intérieur n’a aucun impact sur les résultats d’une élection. Car, estime-t-il, la victoire d’un parti dépend du bon vouloir des électeurs qui l’ont, à moult occasions démontrée.
«Alors, il faut que les gens arrêtent, quand ils perdent, de dire que c’est parce que ce n’est pas transparent, car quand ils gagnent, ils disent qu’ils ont laminé le pouvoir. Il faut être cohérent», poursuit-il dans les colonnes de l'Observateur.
Droit dans ses bottes, Macky Sall martèle : «Je ne prendrai pas de militaire pour en faire un ministre de l’Intérieur, si ça c’est une attente, c’est peine perdue. Qu’on travaille pour moderniser notre démocratie, c’est le peuple qui est souverain et qui décidera qui sera président ou ne le sera pas».
Mais, cette revendication est considérée par le Président Sall comme capricieuse d’autant plus que, selon lui, l’appartenance politique du ministre de l’Intérieur n’a aucun impact sur les résultats d’une élection. Car, estime-t-il, la victoire d’un parti dépend du bon vouloir des électeurs qui l’ont, à moult occasions démontrée.
«Alors, il faut que les gens arrêtent, quand ils perdent, de dire que c’est parce que ce n’est pas transparent, car quand ils gagnent, ils disent qu’ils ont laminé le pouvoir. Il faut être cohérent», poursuit-il dans les colonnes de l'Observateur.
Droit dans ses bottes, Macky Sall martèle : «Je ne prendrai pas de militaire pour en faire un ministre de l’Intérieur, si ça c’est une attente, c’est peine perdue. Qu’on travaille pour moderniser notre démocratie, c’est le peuple qui est souverain et qui décidera qui sera président ou ne le sera pas».