Enseignants, soignants, douaniers… La Solidarité syndicale malgache réunit une cinquantaine de syndicats représentant principalement les agents de l'État. Pour la première fois, mercredi 1er octobre, la plateforme a appelé à manifester dans les rues d'Antananarivo. Un millier de travailleurs ont répondu présents selon son président, Herizo Andrianavalona Ramanambola.
Parmi leurs revendications : l'augmentation des salaires des fonctionnaires, gelés depuis 2022 à Madagascar, mais aussi le respect de la liberté syndicale et de la liberté d'expression. La plateforme, qui se reconnaît dans la mobilisation du collectif Gen Z, veut encourager les fonctionnaires à manifester quotidiennement jusqu'à la démission du président Andry Rajoelina. Et espère contribuer à la résolution de la crise dans le cadre d'une grande concertation.
Tout en soutenant la mobilisation portée par la jeune génération malgache, d'autres plateformes syndicales – à l'image du FISEMA – hésitent néanmoins à appeler à la grève générale, craignant d'aggraver la précarité qu'endurent déjà les travailleurs.
Parmi leurs revendications : l'augmentation des salaires des fonctionnaires, gelés depuis 2022 à Madagascar, mais aussi le respect de la liberté syndicale et de la liberté d'expression. La plateforme, qui se reconnaît dans la mobilisation du collectif Gen Z, veut encourager les fonctionnaires à manifester quotidiennement jusqu'à la démission du président Andry Rajoelina. Et espère contribuer à la résolution de la crise dans le cadre d'une grande concertation.
Tout en soutenant la mobilisation portée par la jeune génération malgache, d'autres plateformes syndicales – à l'image du FISEMA – hésitent néanmoins à appeler à la grève générale, craignant d'aggraver la précarité qu'endurent déjà les travailleurs.