Contrairement à l’opposition qui en doute fort, le 20e appel au dialogue lancé par le Président de la République le vendredi dernier sera suivi d’effet. Car, il y a des contingences, surtout exogènes, qui poussent Abdoulaye Wade à dialoguer avec l’opposition.
C’est du moins la conviction de l’administrateur général du groupe Avenir communication qui était ce dimanche l’invité de l’émission hebdomadaire de la Rfm, «Remue-ménage». «Je crois que cet appel au dialogue politique peut déboucher sur quelque chose de constructif», croit Madiambal. «Je suis convaincu qu’aujourd’hui, si Wade lance un appel au dialogue, il sera suivi d’une discussion avec l’opposition», présume-t-il en notant que l’appel de ce vendredi est le fruit d’un long processus mieux, Wade est tenu de passer par là.
«Cet appel est le fruit d’un long processus. Wade n’a pas le choix, il est obligé de dialogue avec l’opposition», a dit M. Diagne qui ajoute que c’est de la même manière que Wade doit s’ouvrir à la presse en créant un apaisement, en favorisant l’émergence d’un nouveau code de la presse considéré comme consacrant la liberté d’expression.
C’est ce qui a motivé, selon lui, la réception du comité scientifique chargé de l’élaboration du code de la presse à qui il a donné l’assurance de son soutien au niveau de l’Assemblée nationale.
Pour le journaliste, Abdoulaye Wade est «soucieux de son image» à l’international, de ce que pensent les grandes démocraties de lui. Aussi, argumente-t-il, ses alter égo ce sont «les chefs d’Etat des grandes démocraties» ; il veut pouvoir traiter avec eux avec respect et considération. Et de révéler que Me Wade, en allant la semaine prochaine pour l’Assemblée des Nations-unies, voudrait y dire, devant la face du monde et de la communauté internationale qu’il a un dialogue avec son opposition, une démocratie apaisée, qui permet à la presse de s’exprimer librement.
C’est du moins la conviction de l’administrateur général du groupe Avenir communication qui était ce dimanche l’invité de l’émission hebdomadaire de la Rfm, «Remue-ménage». «Je crois que cet appel au dialogue politique peut déboucher sur quelque chose de constructif», croit Madiambal. «Je suis convaincu qu’aujourd’hui, si Wade lance un appel au dialogue, il sera suivi d’une discussion avec l’opposition», présume-t-il en notant que l’appel de ce vendredi est le fruit d’un long processus mieux, Wade est tenu de passer par là.
«Cet appel est le fruit d’un long processus. Wade n’a pas le choix, il est obligé de dialogue avec l’opposition», a dit M. Diagne qui ajoute que c’est de la même manière que Wade doit s’ouvrir à la presse en créant un apaisement, en favorisant l’émergence d’un nouveau code de la presse considéré comme consacrant la liberté d’expression.
C’est ce qui a motivé, selon lui, la réception du comité scientifique chargé de l’élaboration du code de la presse à qui il a donné l’assurance de son soutien au niveau de l’Assemblée nationale.
Pour le journaliste, Abdoulaye Wade est «soucieux de son image» à l’international, de ce que pensent les grandes démocraties de lui. Aussi, argumente-t-il, ses alter égo ce sont «les chefs d’Etat des grandes démocraties» ; il veut pouvoir traiter avec eux avec respect et considération. Et de révéler que Me Wade, en allant la semaine prochaine pour l’Assemblée des Nations-unies, voudrait y dire, devant la face du monde et de la communauté internationale qu’il a un dialogue avec son opposition, une démocratie apaisée, qui permet à la presse de s’exprimer librement.