Une union bénie par serigne Saliou Mbacké en 2007, vie des nuits dans les ténèbres. « Le marabout ne m’a même pas appelée pour qu’on en discute. Pis, il appelle certains de mes proches pour me mettre en mal avec eux ». Renseigne t- elle en poursuivant que leur couple a commencé à battre de l’aile en 2011. Maïmouna qui dit être engagée dans une procédure de divorce, ne veut pas entrer dans les détails.
« J’étais en de bons termes avec le marabout, il m’avait même offert, un véhicule et une maison à Oumoul Khourrah à Touba. Mais quand il y’a eu ces problèmes, le marabout a récupéré le véhicule et quand j’ai pris un taxi pour me rendre à Touba, Cheikh Béthio a appelé ses disciples pour que je n’entre pas dans la maison ». s'est confiée Maïmouna qui est loin d'en avoir fini.
« J’avais confié cette maison à mon frère et à sa femme qui y vivaient. Mais quand les disciples du Cheikh sont venus, ils ont corrigé sévèrement mon frère, pour le contraindre de quitter la maison, puis ils ont attaché ses mains par derrière. C’est ainsi que j’ai dû quitter cette maison de force, laissant derrière moi mes effets personnels », lâche cette dernière qui informe qu’elle fut la première épouse à rendre visite au Cheikh en prison et qui est maintenant confrontée à trouver un logement pour son fils et elle-même.
« Maintenant, mon mari a enclenché une procédure de divorce. Mais dans un premier temps, il a tenté de force de récupérer notre fils de presque 3 ans. Mais j’ai refusé. J’ai été obligée de chercher un appartement à Cambérène pour y habiter à mes propres frais », selon Maïmouna Sao qui s'indigne que Cheikh Béthio Thioune voudrait confier leur fils à Adja Déthié Pène, sa 7éme femme. « J’ai refusé, arguant que je pourrai m’occuper de mon enfant » déclare la 5ème épouse qui dit avoir été menacée par son mari pour la garde de l’enfant".
Et cette dernière de poursuivre qu'« après cette réponse, je vois le Cheikh, un beau matin flanqué de son épouse, de quelques uns de ses enfants, de ses lieutenants et certains de ses enfants et devant tous ce beaux monde, il s’est mis à exposer notre vie conjugale. (…) Il m’a fait savoir que sa pension de retraite était très faible et il ne pouvait me donner que 25 000F CFA, comme pension pour notre enfant. Car a son avis j’étais incapable de m’occuper de notre enfant, puis il m’a dit que son avocat Me Babou va entrer en contact avec moi pour signer les papiers du divorce. ».
Maïmouna Sao ayant reçu une convocation du tribunal de Mbacké venant de Me Babou, le mercredi 4 décembre, s’y est d'ailleurs rendue. Mais à la question de savoir s’il y’a une chance de conciliation, le "Cheikh a dit niet et demande à son épouse de lui rendre sur le champ la maison offerte".
« J’étais en de bons termes avec le marabout, il m’avait même offert, un véhicule et une maison à Oumoul Khourrah à Touba. Mais quand il y’a eu ces problèmes, le marabout a récupéré le véhicule et quand j’ai pris un taxi pour me rendre à Touba, Cheikh Béthio a appelé ses disciples pour que je n’entre pas dans la maison ». s'est confiée Maïmouna qui est loin d'en avoir fini.
« J’avais confié cette maison à mon frère et à sa femme qui y vivaient. Mais quand les disciples du Cheikh sont venus, ils ont corrigé sévèrement mon frère, pour le contraindre de quitter la maison, puis ils ont attaché ses mains par derrière. C’est ainsi que j’ai dû quitter cette maison de force, laissant derrière moi mes effets personnels », lâche cette dernière qui informe qu’elle fut la première épouse à rendre visite au Cheikh en prison et qui est maintenant confrontée à trouver un logement pour son fils et elle-même.
« Maintenant, mon mari a enclenché une procédure de divorce. Mais dans un premier temps, il a tenté de force de récupérer notre fils de presque 3 ans. Mais j’ai refusé. J’ai été obligée de chercher un appartement à Cambérène pour y habiter à mes propres frais », selon Maïmouna Sao qui s'indigne que Cheikh Béthio Thioune voudrait confier leur fils à Adja Déthié Pène, sa 7éme femme. « J’ai refusé, arguant que je pourrai m’occuper de mon enfant » déclare la 5ème épouse qui dit avoir été menacée par son mari pour la garde de l’enfant".
Et cette dernière de poursuivre qu'« après cette réponse, je vois le Cheikh, un beau matin flanqué de son épouse, de quelques uns de ses enfants, de ses lieutenants et certains de ses enfants et devant tous ce beaux monde, il s’est mis à exposer notre vie conjugale. (…) Il m’a fait savoir que sa pension de retraite était très faible et il ne pouvait me donner que 25 000F CFA, comme pension pour notre enfant. Car a son avis j’étais incapable de m’occuper de notre enfant, puis il m’a dit que son avocat Me Babou va entrer en contact avec moi pour signer les papiers du divorce. ».
Maïmouna Sao ayant reçu une convocation du tribunal de Mbacké venant de Me Babou, le mercredi 4 décembre, s’y est d'ailleurs rendue. Mais à la question de savoir s’il y’a une chance de conciliation, le "Cheikh a dit niet et demande à son épouse de lui rendre sur le champ la maison offerte".