Makhtar Sourang, le chef de la délégation de l’Efop lors de la rencontre ce matin avec Abdoulaye Daouda Diallo, est revenu sur les motifs du blocage quant à la désignation des plénipotentiaires. Et c’est pour dire que c’est pour refuser d’être victime d’une injustice qu’ils ont refusé le «dictat » des partis qui se considèrent comme l’opposition la plus significative.
«Hier, tard dans la nuit, ayant constaté qu’il y avait un blocage parce que l’autre camp voulait, dans un premier temps, nous confiner à trois représentants, finalement ils ont évolué et nous ont proposé 5.
Nous, nous avions proposé au départ une égalité parfaite parce que nous ne croyons pas à l’idée qui consiste à dire qu’il y a de grands partis. Il faut se départir de ce dictat de grand parti », a-tt-il déclaré.
Selon lui les discussions avec le ministre de l’Intérieur concernent le processus électoral qui lui, est la chose de tout parti politique ayant pour vocation de conquérir le pouvoir. En plus de cela, M Sourang soutient qu’il n’y a pas de chef de l’opposition actuellement.
«Il n’y a pas de chef de chef de l’opposition actuellement, et on va d’ici quelques mois à des élections législatives et le moment venu on saura qui pèse quoi. Mais pour le moment nous nous battons pour des principes. C’est de dire qu’aucun parti ne doit fixer les règles du jeu à la place des autres parce qu’on a été exclu, c’est ça qui est à l’origine du problème. Une partie de l’opposition s’était réuni et a désigné les représentants de l’opposition sans nous consulter », a-t-il conclu.
«Hier, tard dans la nuit, ayant constaté qu’il y avait un blocage parce que l’autre camp voulait, dans un premier temps, nous confiner à trois représentants, finalement ils ont évolué et nous ont proposé 5.
Nous, nous avions proposé au départ une égalité parfaite parce que nous ne croyons pas à l’idée qui consiste à dire qu’il y a de grands partis. Il faut se départir de ce dictat de grand parti », a-tt-il déclaré.
Selon lui les discussions avec le ministre de l’Intérieur concernent le processus électoral qui lui, est la chose de tout parti politique ayant pour vocation de conquérir le pouvoir. En plus de cela, M Sourang soutient qu’il n’y a pas de chef de l’opposition actuellement.
«Il n’y a pas de chef de chef de l’opposition actuellement, et on va d’ici quelques mois à des élections législatives et le moment venu on saura qui pèse quoi. Mais pour le moment nous nous battons pour des principes. C’est de dire qu’aucun parti ne doit fixer les règles du jeu à la place des autres parce qu’on a été exclu, c’est ça qui est à l’origine du problème. Une partie de l’opposition s’était réuni et a désigné les représentants de l’opposition sans nous consulter », a-t-il conclu.