Chaud climat à la CENA où le secrétaire général vient de claquer la porte. Ses compétences sont fixées par le décret n°2006-07 portant régime financier de la CENA. Un texte qui stipule que dans la cadre de sa gestion financière, la CENA dispose d'un ordonnateur qui est le président de la structure, d'un administrateur de crédits en la personne du secrétaire général et d'un comptable public. Mieux, le secrétaire général élabore chaque année le projet de budget établi en fonction des frais de fonctionnement de la structure, des objectifs et prévisions d'activités pour l'année à venir sous l'autorité du Président.
Il le présente à la CENA pour l'approbation. De plus, le secrétaire général procède à toute proposition d'engagement des crédits affectés à la CENA. le hic, c'est que tout ou presque de ses prérogatives lui sont déniées. Ne pouvant plus cautionner cette "façon de faire" et "être complice d'une situation", le secrétaire général a pris la décision de mettre fin à neuf (9) ans d'exercice, livre "l'Observateur" où certains membres dénoncent une gestion qui "souffre de transparence". Les reproches faits à la Cellule administrative et financière sont relatifs à une "gestion opaque et solitaire".
Il le présente à la CENA pour l'approbation. De plus, le secrétaire général procède à toute proposition d'engagement des crédits affectés à la CENA. le hic, c'est que tout ou presque de ses prérogatives lui sont déniées. Ne pouvant plus cautionner cette "façon de faire" et "être complice d'une situation", le secrétaire général a pris la décision de mettre fin à neuf (9) ans d'exercice, livre "l'Observateur" où certains membres dénoncent une gestion qui "souffre de transparence". Les reproches faits à la Cellule administrative et financière sont relatifs à une "gestion opaque et solitaire".