Depuis novembre, l'armée française essaye d'occuper le terrain, particulièrement dans la zone des trois frontières, Burkina, Mali, Niger. C'est déjà dans cette zone à la hauteur de la ville d'In Délimane qu'un blindé français avait été ciblé par une attaque au véhicule suicide le 11 janvier dernier, trois soldats avaient été blessés.
La zone où a eu lieu l'attaque est connue pour être un secteur où opèrent les hommes du mouvement EIGS, Etat islamique pour le Grand Sahara et plus au sud au Burkina le groupe Ansaru al-Islam. Pour l'heure l'attaque n’a pas été revendiquée.
Les deux jeunes soldats tués appartenaient au 1er régiment de Spahis de Valence. Selon l'EMA ils circulaient en Véhicule blindé léger (VBL), un engin très mobile conçu dans les années 1980, mais qui n'est pas à la norme MRAP (Mine Ambush Résistant Protected) qui garantit en principe une certaine résistance aux engins explosifs dissimulés dans le sol.
En 2016, quatre militaires français engagés dans des convois logistiques avaient été tués par ces mines artisanales, dans l'extrême nord du Mali, l'état-major avait ensuite décidé de déployer des moyens de détection et de déminages supplémentaires.
Avec rfi.fr
La zone où a eu lieu l'attaque est connue pour être un secteur où opèrent les hommes du mouvement EIGS, Etat islamique pour le Grand Sahara et plus au sud au Burkina le groupe Ansaru al-Islam. Pour l'heure l'attaque n’a pas été revendiquée.
Les deux jeunes soldats tués appartenaient au 1er régiment de Spahis de Valence. Selon l'EMA ils circulaient en Véhicule blindé léger (VBL), un engin très mobile conçu dans les années 1980, mais qui n'est pas à la norme MRAP (Mine Ambush Résistant Protected) qui garantit en principe une certaine résistance aux engins explosifs dissimulés dans le sol.
En 2016, quatre militaires français engagés dans des convois logistiques avaient été tués par ces mines artisanales, dans l'extrême nord du Mali, l'état-major avait ensuite décidé de déployer des moyens de détection et de déminages supplémentaires.
Avec rfi.fr