Peu après l'annonce du rapt de ces cinq ressortissants indiens au Mali, un responsable de la société qui les emploie a pris des contacts dans le but de parvenir à un dénouement rapide de l'affaire. Les ravisseurs ne se seraient pas entendus, samedi 8 novembre, sur les conditions de libération des otages. Les premières négociations ont ainsi échoué.
Après une journée harassante de travail, ces employés indiens venaient d'arriver, à la nuit tombée, dans le camp qui leur sert de logement, près de la localité de Kobri, à l'ouest du pays. Des hommes fortement armés sont alors arrivés sur les lieux. Les cinq travailleurs étrangers ont été immédiatement arrêtés et conduits, dans un premier temps, plus à l'ouest du Mali.
Trente-deux autres travailleurs indiens, présents sur les lieux, ont échappé à la vigilance des kidnappeurs. En toute sécurité, ils ont été transportés vers la capitale malienne. Sur l'axe Bamako-Kayes, les groupes armés – dont des jihadistes – sont de plus en présents et coopèrent à des enlèvements ou attaques.
Après une journée harassante de travail, ces employés indiens venaient d'arriver, à la nuit tombée, dans le camp qui leur sert de logement, près de la localité de Kobri, à l'ouest du pays. Des hommes fortement armés sont alors arrivés sur les lieux. Les cinq travailleurs étrangers ont été immédiatement arrêtés et conduits, dans un premier temps, plus à l'ouest du Mali.
Trente-deux autres travailleurs indiens, présents sur les lieux, ont échappé à la vigilance des kidnappeurs. En toute sécurité, ils ont été transportés vers la capitale malienne. Sur l'axe Bamako-Kayes, les groupes armés – dont des jihadistes – sont de plus en présents et coopèrent à des enlèvements ou attaques.