Dans le communiqué parvenu à Pressafrik, il est noté que beaucoup de ministres ont été reconduits parmi les militaires. C’est le cas du colonel-major Ismaël Wagué, qui fut longtemps la principale figure médiatique des putschistes ayant mené le coup d’État contre Ibrahim Boubacar Keïta, conserve son portefeuille de la Réconciliation nationale, de même que le lieutenant-colonel Abdoulaye Maïga, reste à la tête du ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation.
Deux membres influents de l’ex-Conseil national pour le salut du peuple (CNSP) ont cependant été remplacés : le colonel Modibo Koné cède son poste de ministre de la Sécurité et de la Protection civile au général Souleymane Doucouré, jusque-là chef d’état-major de l’armée de l’air, et le colonel Sadio Camara quitte le très stratégique ministère de la Défense où le remplace désormais le général Mamadou Lamine Ballo.
Zeïni Moulaye, ancien ministre des Transports et du Tourisme, ex-ambassadeur du Mali en Arabie saoudite et ex-conseiller diplomatique d’IBK, reste ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale. Reconduite, Fanta Siby, conserve son poste au ministre de la Solidarité et du Développement social. De même que Harouna Niang (Industrie, du Commerce et de la Promotion des Investissements), Mohamed Salia Touré (Formation professionnelle et Construction citoyenne), Mossa Ag Attaher (Jeunesse et Sports), Mahamadou Koné (Affaires religieuses et du Culte), Kadiatou Konaré (Culture, Artisanat et Tourisme) et Alhamdou Ag Ilyène (Maliens de l’étranger).
Certains restent au sein du gouvernement, mais changent de poste. C’est le cas de Me Harouna Toureh, qui quitte le ministère du Travail pour prendre celui de la Promotion de la bonne Gouvernance, chargé des Relations avec les institutions, tandis que Dionkè Diarra, qui était auparavant à l’Urbanisme, monte en grade pour prendre le ministère de l’Économie et des Finances.
Au rang des nouveaux entrants, on notera la nomination Boubacar Sidiki Samake, l’ancien procureur du pôle antiterroriste, à la tête du ministère de la Justice. Hamza Ahmadou Cissé, nommé au ministère des Affaires foncières, de l’Urbanisme et de l’Habitat, et Diawara Aoua Paul Diallo, nommée ministre de l’Éducation nationale. Abdel Kader Sidibé, devient pour sa part ministre de la Fonction publique, Djibril Tall prend le ministère des Mines et de l’Énergie, Youba Ba est le nouveau ministre des maliens de l’extérieur.
Doulaye Konaté (Adema-PASJ) a été nommé à l’Enseignement supérieur, Togo Marie Yagalé Togo (Ensemble pour le Mali, dont le RPM de l’ancien président IBK est la figure de proue) à la Promotion de la femme et, enfin, Mohamed Ag Akeratane (SADI) est désormais ministre de l’Environnement.
La composition de ce nouveau gouvernement était très attendue. Dans un contexte sociopolitique tendu.
Deux membres influents de l’ex-Conseil national pour le salut du peuple (CNSP) ont cependant été remplacés : le colonel Modibo Koné cède son poste de ministre de la Sécurité et de la Protection civile au général Souleymane Doucouré, jusque-là chef d’état-major de l’armée de l’air, et le colonel Sadio Camara quitte le très stratégique ministère de la Défense où le remplace désormais le général Mamadou Lamine Ballo.
Zeïni Moulaye, ancien ministre des Transports et du Tourisme, ex-ambassadeur du Mali en Arabie saoudite et ex-conseiller diplomatique d’IBK, reste ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale. Reconduite, Fanta Siby, conserve son poste au ministre de la Solidarité et du Développement social. De même que Harouna Niang (Industrie, du Commerce et de la Promotion des Investissements), Mohamed Salia Touré (Formation professionnelle et Construction citoyenne), Mossa Ag Attaher (Jeunesse et Sports), Mahamadou Koné (Affaires religieuses et du Culte), Kadiatou Konaré (Culture, Artisanat et Tourisme) et Alhamdou Ag Ilyène (Maliens de l’étranger).
Certains restent au sein du gouvernement, mais changent de poste. C’est le cas de Me Harouna Toureh, qui quitte le ministère du Travail pour prendre celui de la Promotion de la bonne Gouvernance, chargé des Relations avec les institutions, tandis que Dionkè Diarra, qui était auparavant à l’Urbanisme, monte en grade pour prendre le ministère de l’Économie et des Finances.
Au rang des nouveaux entrants, on notera la nomination Boubacar Sidiki Samake, l’ancien procureur du pôle antiterroriste, à la tête du ministère de la Justice. Hamza Ahmadou Cissé, nommé au ministère des Affaires foncières, de l’Urbanisme et de l’Habitat, et Diawara Aoua Paul Diallo, nommée ministre de l’Éducation nationale. Abdel Kader Sidibé, devient pour sa part ministre de la Fonction publique, Djibril Tall prend le ministère des Mines et de l’Énergie, Youba Ba est le nouveau ministre des maliens de l’extérieur.
Doulaye Konaté (Adema-PASJ) a été nommé à l’Enseignement supérieur, Togo Marie Yagalé Togo (Ensemble pour le Mali, dont le RPM de l’ancien président IBK est la figure de proue) à la Promotion de la femme et, enfin, Mohamed Ag Akeratane (SADI) est désormais ministre de l’Environnement.
La composition de ce nouveau gouvernement était très attendue. Dans un contexte sociopolitique tendu.