Lorsque Mahamadou Djéri Maïga arrive ce jeudi à l’aéroport d’Ouagadougou, c’est pour voyager. Il remplit ses formalités et subitement un policier lui fait un garde-à-vous impeccable : « Attendez là ! Nous avons besoin de faire des vérifications » lance l’homme en uniforme.
L’avion décolle sans le numéro 2 du Mouvement national de de l’Azawad, MNLA. A ce moment, dans un entretien téléphonique, il confie à RFI : « La police m’a dit qu’elle fait des vérifications ». Plus d’une heure après, l’homme est libéré. Il rentre chez lui et à RFI il précise : « Ils ont vérifié des rumeurs qui disaient que des rebelles maliens ont aidé ou voulaient aider les putschistes de Ouagadougou. Après, ils m’ont blanchi ».
source: Rfi
L’avion décolle sans le numéro 2 du Mouvement national de de l’Azawad, MNLA. A ce moment, dans un entretien téléphonique, il confie à RFI : « La police m’a dit qu’elle fait des vérifications ». Plus d’une heure après, l’homme est libéré. Il rentre chez lui et à RFI il précise : « Ils ont vérifié des rumeurs qui disaient que des rebelles maliens ont aidé ou voulaient aider les putschistes de Ouagadougou. Après, ils m’ont blanchi ».
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