Jeudi 21 février 2013. A Kidal, à 1.500 km au nord-est de Bamako. Un "véhicule est arrivé en filant vers le sud-ouest" de la ville et "a explosé à environ 500 mètres du camp occupé par les Français et les Tchadiens
"Deux soldats, gravement blessés, ont succombé (...) dès leur arrivée à Niamey (Niger), ce qui porte à 25 le nombre des soldats tchadiens décédés suite aux combats qui les ont opposé aux djihadistes le 22 février dernier", a déclaré la radio nationale tchadienne.
D’après la radio, leur décès résulte "du retard pris pour leur évacuation".
Le dernier bilan annoncé par l’état-major tchadien dimanche faisait état de 23 morts et 50 blessés côté tchadien, et de 93 morts dans le camp des islamistes armés.
Le président tchadien Idriss Déby Itno a institué une journée de deuil national vendredi 1er mars, le jour des obsèques des soldats tués au Mali, selon un décret lu à la radio nationale jeudi.
Le Tchad, qui a déployé plus de 2.000 hommes au Mali, est en première ligne aux côtés de l’armée française dans le massif des Ifoghas, où se sont retranchés les groupes jihadistes après avoir été chassés des grandes villes du Nord qu’ils occupaient depuis l’an dernier.
Le président Deby a appelé mercredi la force ouest-africaine et l’armée malienne à accélérer leur déploiement dans le nord du Mali pour combattre avec les soldats français et tchadiens les groupes jihadistes.
AFP via Abamako.com
D’après la radio, leur décès résulte "du retard pris pour leur évacuation".
Le dernier bilan annoncé par l’état-major tchadien dimanche faisait état de 23 morts et 50 blessés côté tchadien, et de 93 morts dans le camp des islamistes armés.
Le président tchadien Idriss Déby Itno a institué une journée de deuil national vendredi 1er mars, le jour des obsèques des soldats tués au Mali, selon un décret lu à la radio nationale jeudi.
Le Tchad, qui a déployé plus de 2.000 hommes au Mali, est en première ligne aux côtés de l’armée française dans le massif des Ifoghas, où se sont retranchés les groupes jihadistes après avoir été chassés des grandes villes du Nord qu’ils occupaient depuis l’an dernier.
Le président Deby a appelé mercredi la force ouest-africaine et l’armée malienne à accélérer leur déploiement dans le nord du Mali pour combattre avec les soldats français et tchadiens les groupes jihadistes.
AFP via Abamako.com