La rentrée scolaire démarre officiellement ce lundi par les enseignants. Les élèves devront suivre deux jours après. Toutefois, ce démarrage ne se fera pas comme souhaité par les autorités étatiques. La semaine dernière le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Ousmane Ngom annonçait au cours de la visite de courtoisie qu’il rendait aux autorités religieuses de Kaolack que les établissements sont prêts pour accueillir les élèves à l’ouverture des classes. Faux, a rétorqué le secrétaire général de l’Union démocratique des enseignants du Sénégal (UDEN), Mamadou Diop Castro qui estime que toutes les conditions sont réunies pour assister à une rentrée à plusieurs vitesses.
«Il faudra s’attendre une rentrée scolaire à plusieurs vitesses», croit le porte étandard du «Yengu Yengueul». «La mise en place du personnel n’est pas encore terminée ; l’hivernage n’a pas encore dit son dernier mot ; des écoles restent inondées, d’autres sont occupées par les populations sinistrées», a expliqué Mamadou Diop Castro.
Il a poursuivit au micro de la Rfm que «les abris provisoires des écoles sont complètement endommagés ; et pour certains, il faudra entendre d’ici janvier ou février pour les voir reconstruis. C’est aussi le cas du matériel pédagogique qui n’est pas encore sur place. C’est pourquoi il réitère que la rentrée scolaire se fera à plusieurs vitesses.
«Il faudra s’attendre une rentrée scolaire à plusieurs vitesses», croit le porte étandard du «Yengu Yengueul». «La mise en place du personnel n’est pas encore terminée ; l’hivernage n’a pas encore dit son dernier mot ; des écoles restent inondées, d’autres sont occupées par les populations sinistrées», a expliqué Mamadou Diop Castro.
Il a poursuivit au micro de la Rfm que «les abris provisoires des écoles sont complètement endommagés ; et pour certains, il faudra entendre d’ici janvier ou février pour les voir reconstruis. C’est aussi le cas du matériel pédagogique qui n’est pas encore sur place. C’est pourquoi il réitère que la rentrée scolaire se fera à plusieurs vitesses.