La dispersion de leur marche par les forces de l’ordre n’a fait que revigorer les membres de Mankoo Wattù Senegaal (MWS). En organisant une réunion d’évaluation de leur rassemblement du 14 octobre dernier, les camarades de Malick Gackou ont montré qu’ils ne comptaient pas baisser les bras jusqu’à la satisfaction de leurs doléances.
«Il faut que nos adversaires sachent que la politique ce n’est pas du travail forcé. C’est nous qui avons décidé de nous engager en politique. S’il est vrai que le pays est au-dessus de nos personnes, nous devons accepter de sacrifier nos personnes pour le pays», a déclaré Mamadou Diop Decroix, le porte-parole du jour.
Mais pour le moment, la question du pétrole et du gaz, ainsi que la refonte du fichier électoral et le rétablissement de «leurs libertés constitutionnelles» constituent leurs principaux objectifs : «Nous nous battons pour les libertés dans ce pays. La preuve, cette manifestation aurait dû se passer tranquillement, et elle a été réprimée. Nous poursuivrons ces combats, quoi qu’il arrive. Nous garderons le cap quoi qu’il nous en coûte».
Poursuivant, M. Decroix martèle : «Les combats que nous menons ne sont pas nos combats. Ce sont les préoccupations des Sénégalais que nous portons. Lorsque nous parlons du pétrole et du gaz, ce n’est pas le pétrole de Malick Gackou le coordonnateur, ou de qui que ce soit, mais c’est le pétrole des Sénégalaise et des Sénégalais». Et de questionner : «Est-ce que c’est un crime que cette question soit posée ? »
«Il faut que nos adversaires sachent que la politique ce n’est pas du travail forcé. C’est nous qui avons décidé de nous engager en politique. S’il est vrai que le pays est au-dessus de nos personnes, nous devons accepter de sacrifier nos personnes pour le pays», a déclaré Mamadou Diop Decroix, le porte-parole du jour.
Mais pour le moment, la question du pétrole et du gaz, ainsi que la refonte du fichier électoral et le rétablissement de «leurs libertés constitutionnelles» constituent leurs principaux objectifs : «Nous nous battons pour les libertés dans ce pays. La preuve, cette manifestation aurait dû se passer tranquillement, et elle a été réprimée. Nous poursuivrons ces combats, quoi qu’il arrive. Nous garderons le cap quoi qu’il nous en coûte».
Poursuivant, M. Decroix martèle : «Les combats que nous menons ne sont pas nos combats. Ce sont les préoccupations des Sénégalais que nous portons. Lorsque nous parlons du pétrole et du gaz, ce n’est pas le pétrole de Malick Gackou le coordonnateur, ou de qui que ce soit, mais c’est le pétrole des Sénégalaise et des Sénégalais». Et de questionner : «Est-ce que c’est un crime que cette question soit posée ? »