« Le plus dur pour moi a été de voir mes proches souffrir. Moi, je suis une personne qui tourne très vite la page. L’expérience de la vie m’a montré qu’il fallait pouvoir faire des constats, trouver une solution et avancer. Je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort et de pleurnicher. Mais c’est vrai que voir ma mère souffrir de ça, de voir mes frères et soeurs, ma femme, mes amis en souffrir, c’était dur pour moi. J’étais là pour leur dire que ça allait aller, que le soldat allait continuer de bosser et que ça allait bien se passer ».
Avec Sénégo
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