Le journaliste analyste politique, Mame Less Camara, a laissé entendre dans un entretien qu’il a accordé au quotidien «Le Populaire», dans son édition du jour que parfois, il a l’impression que Me Abdoulaye Wade s’est imposé le «choix incroyable» de se présenter à la présidentielle à 86 ans parce qu’il n’a laissé à son parti (parti démocratique sénégalais) la facilité de produire des présidentiables. Alors qu’il en avait au moins cinq, citant Macky Sall et Idrissa Seck (tous anciens premiers ministres et seconds du PDS), qui sont passés à la trappe.
Il ne comprend pas cette décision de Wade. «(…). Je ne pense (…) qu’à 86 ans, il n’est pas raisonnable de postuler pour être élu président de la république », a soutenu Mame Less Camara qui pense que l’idée de faire revenir Ousmane Ngom, exclusivement, comme le pense l’opposition, pour trafiquer l’élection présidentielle de 2012 couplée avec les législatives, doit être complétée par la nécessité pour Wade de mettre sa propre élection en perspective.
Sur le dialogue lancé par le Président de la République, le jour de l'Aïd El Fitr (vendredi dernier), l’ancien directeur de Océan Fm dira qu’il y a quelque chose de folklorique. Pour lui, le dialogue n’est pas véritablement le face-à-face verbal sous l’arbre à palabres mais le dialogue, pour avoir un consensus sur le code électoral, comme ce fut en 92 avec l’ancien Président de la république du Sénégal est nécessaire.
Il ne comprend pas cette décision de Wade. «(…). Je ne pense (…) qu’à 86 ans, il n’est pas raisonnable de postuler pour être élu président de la république », a soutenu Mame Less Camara qui pense que l’idée de faire revenir Ousmane Ngom, exclusivement, comme le pense l’opposition, pour trafiquer l’élection présidentielle de 2012 couplée avec les législatives, doit être complétée par la nécessité pour Wade de mettre sa propre élection en perspective.
Sur le dialogue lancé par le Président de la République, le jour de l'Aïd El Fitr (vendredi dernier), l’ancien directeur de Océan Fm dira qu’il y a quelque chose de folklorique. Pour lui, le dialogue n’est pas véritablement le face-à-face verbal sous l’arbre à palabres mais le dialogue, pour avoir un consensus sur le code électoral, comme ce fut en 92 avec l’ancien Président de la république du Sénégal est nécessaire.