«Quittez cette chaussée ! Mettez-vous de l’autre côté». Ces injonctions, émanant des policiers se trouvant à la Place de l’Obélisque sont destinées aux journalistes venus faire leur travail qui est d’informer juste et vrai. Après les avoir «parqué» au même niveau que les manifestants, les éléments du GMI n'ont pas eu de gène à leur balancer des grenades lacrymogènes.
C’est alors l’incompréhension chez les «pisses-copies» devant cet acte qu’on pourrait qualifier de violence gratuite puisque le seul parti de ces hommes et femmes, n’est autre que la société.
Alors c’est l’ébahissement chez les journalistes : «Mais comment en sommes-nous arrivés là ? Nous ne faisons que notre travail. Vous nous avez mis avec les manifestants pour nous lancer des lacrymogènes. Vous l’avez fait sciemment», n’a pu s’empêcher de dire ce journaliste d’ATN.
C’est la même incompréhension qui se lisait sur le visage du confrère de Walf tv. En effet, ce dernier ne s’explique pas cette attitude de ceux chargés de veiller sur leur sécurité des Sénégalais.
Et que dire du photographe de Sud quotidien ? Ce dernier qui a failli en venir aux mains avec un policier devant cet acte que l’on peut qualifier d’odieux.
C’est dans cette ambiance délétère que certains journalistes ont émis l’idée de boycotter les manifestations des forces de l’ordre. Car se sentant démunis devant la violence utilisée à leur encontre.
C’est alors l’incompréhension chez les «pisses-copies» devant cet acte qu’on pourrait qualifier de violence gratuite puisque le seul parti de ces hommes et femmes, n’est autre que la société.
Alors c’est l’ébahissement chez les journalistes : «Mais comment en sommes-nous arrivés là ? Nous ne faisons que notre travail. Vous nous avez mis avec les manifestants pour nous lancer des lacrymogènes. Vous l’avez fait sciemment», n’a pu s’empêcher de dire ce journaliste d’ATN.
C’est la même incompréhension qui se lisait sur le visage du confrère de Walf tv. En effet, ce dernier ne s’explique pas cette attitude de ceux chargés de veiller sur leur sécurité des Sénégalais.
Et que dire du photographe de Sud quotidien ? Ce dernier qui a failli en venir aux mains avec un policier devant cet acte que l’on peut qualifier d’odieux.
C’est dans cette ambiance délétère que certains journalistes ont émis l’idée de boycotter les manifestations des forces de l’ordre. Car se sentant démunis devant la violence utilisée à leur encontre.