Ayant encore en mémoire "les marches réprimées en bain de sang qui avaient conduit à la mort de l'étudiant Mamadou Diop", le conseiller spécial du président de la République, Malick Ndiaye a noté "un véritable recul démocratique " avec cet interdiction de marche.
Même si elle est convaincue que le "PDS ne fait que du saupoudrage", la présidente du conseil d'administration de la LONASE, Néné Fatoumata Tall est du même avis que le "préfet aurait dû autoriser la marche", sur les colonnes du journal, "L'As".
Montés au créneau le même jour de l'interdiction, des responsables de BBY n'avaient pas attendu pour montrer leur désaccord par rapport à cette décision.
Si pour le leader de « Bës du niakk », Mansour Sy Djamil, «la manifestation des libéraux devait être autorisée pour ridiculiser l’appel du président sortant Wade de Versailles », le responsable de Rewmi n’a pas été aussi tendre. Idrissa Seck a tout simplement dénoncé «un recul démocratique grave inacceptable au Sénégal au 21ème siècle».
Même si elle est convaincue que le "PDS ne fait que du saupoudrage", la présidente du conseil d'administration de la LONASE, Néné Fatoumata Tall est du même avis que le "préfet aurait dû autoriser la marche", sur les colonnes du journal, "L'As".
Montés au créneau le même jour de l'interdiction, des responsables de BBY n'avaient pas attendu pour montrer leur désaccord par rapport à cette décision.
Si pour le leader de « Bës du niakk », Mansour Sy Djamil, «la manifestation des libéraux devait être autorisée pour ridiculiser l’appel du président sortant Wade de Versailles », le responsable de Rewmi n’a pas été aussi tendre. Idrissa Seck a tout simplement dénoncé «un recul démocratique grave inacceptable au Sénégal au 21ème siècle».