Les résultats du Baccalauréat session 2016 sont jugés catastrophiques par l’ensemble des acteurs du système éducatif même si, pour le moment, ce ne sont que des résultats provisoires. L’heure de situer les responsabilités des uns et des autres dans l’échec de beaucoup d’élèves a ainsi sonné. Et, c’est le coordonnateur du Grand cadre qui est monté au créneau pour désigner l’Etat comme le seul et unique responsable qui doit endosser ces résultats jugés catastrophiques par les acteurs du système.
De l’avis Dianté du Grand cadre, « Quand il y a perturbation dans le système éducatif, évidemment on s’attend à avoir des résultats comme ça. Et nous en sommes désolés, mais résultats-là sont regrettables », a regretté M. Dianté.
Pis même, le ministre de l’Education, lors d’une conférence de presse, a indiqué que les grèves n’ont pas eu d’impact sur les résultats, alors qu’il savait «en âme et conscience que la grève avait un réel impact sur les apprentissages ».
Le coordonnateur du Grand cadre pointe un doigt accusateur sur le ministre de l'Education nationale car il savait bien qu’en refusant de réaménager le calendrier scolaire et en disant que l’impact de la grève n’est pas important, car sur 16 syndicats, il n’y a que deux qui sont en grève, sur 24 syndicats,, attitude jugée dommageable par les camarades de Dianté.
En face à ce qui est appelé aujourd'hui une hécatombe, Mamadou Lamine Dianté et compagnie dégagent ainsi toute responsabilité des enseignants et rejettent tout sur l’Etat. «Nous considérons aujourd’hui que ce ne serait aucunement la responsabilité des syndicats d’enseignants, encore moins des enseignants qui ont payé pour la grève dans la mesure où on les a condamnés sur place sur le plan pécuniaire et administratif», précise Dianté.
De l’avis Dianté du Grand cadre, « Quand il y a perturbation dans le système éducatif, évidemment on s’attend à avoir des résultats comme ça. Et nous en sommes désolés, mais résultats-là sont regrettables », a regretté M. Dianté.
Pis même, le ministre de l’Education, lors d’une conférence de presse, a indiqué que les grèves n’ont pas eu d’impact sur les résultats, alors qu’il savait «en âme et conscience que la grève avait un réel impact sur les apprentissages ».
Le coordonnateur du Grand cadre pointe un doigt accusateur sur le ministre de l'Education nationale car il savait bien qu’en refusant de réaménager le calendrier scolaire et en disant que l’impact de la grève n’est pas important, car sur 16 syndicats, il n’y a que deux qui sont en grève, sur 24 syndicats,, attitude jugée dommageable par les camarades de Dianté.
En face à ce qui est appelé aujourd'hui une hécatombe, Mamadou Lamine Dianté et compagnie dégagent ainsi toute responsabilité des enseignants et rejettent tout sur l’Etat. «Nous considérons aujourd’hui que ce ne serait aucunement la responsabilité des syndicats d’enseignants, encore moins des enseignants qui ont payé pour la grève dans la mesure où on les a condamnés sur place sur le plan pécuniaire et administratif», précise Dianté.