Un peu moins de trois (3) semaines après l’affaire dite de bavure policière qui a entraîné la mort d’un jeune de 18 ans, Ibrahima Samb au cours d’une opération de sécurisation à Mbacké, la DIC qui a retracé la scène du « crime » la semaine dernière a établi que ce dernier, une fois interpellé par les policiers lors de la rafle, a été jeté dans la malle de la voiture puis enfermé.
Enfermé comme un rat pris au piège, Ibrahima Samb se débat comme il peut pour sortir de cet espace réduit . Des efforts qui ont eu raison de lui avant que ces bourreaux ne paniquent et se résolvent à le conduire au poste de santé où le jeune apprenti chauffeur mis de force dans une malle, rudoyé avant d’être trimballé des kilomètres finira par rendre l’âme. La chaleur suffocante de la malle du véhicule a eu raison de lui, selon le journal « libération » en possession du rapport d’enquête de la DIC, ce dernier document révèle que l’opération qui a occasionné cette mort d’homme est en elle-même illégale. Pour déclencher une opération de sécurisation, les policiers doivent avoir une autorisation de sortie.
Ce qui n’était pas le cas d’Almami Touré, Thiendella Ndiaye, Mahécor Ndong et Ousmane Ndao, les quatre (4) éléments de la brigade de Mbacké mis aux arrêts et qui risquent gros dans la mesure où enfonce le rapport de la DIC, leur véhicule ne disposait d’aucun papier.
Enfermé comme un rat pris au piège, Ibrahima Samb se débat comme il peut pour sortir de cet espace réduit . Des efforts qui ont eu raison de lui avant que ces bourreaux ne paniquent et se résolvent à le conduire au poste de santé où le jeune apprenti chauffeur mis de force dans une malle, rudoyé avant d’être trimballé des kilomètres finira par rendre l’âme. La chaleur suffocante de la malle du véhicule a eu raison de lui, selon le journal « libération » en possession du rapport d’enquête de la DIC, ce dernier document révèle que l’opération qui a occasionné cette mort d’homme est en elle-même illégale. Pour déclencher une opération de sécurisation, les policiers doivent avoir une autorisation de sortie.
Ce qui n’était pas le cas d’Almami Touré, Thiendella Ndiaye, Mahécor Ndong et Ousmane Ndao, les quatre (4) éléments de la brigade de Mbacké mis aux arrêts et qui risquent gros dans la mesure où enfonce le rapport de la DIC, leur véhicule ne disposait d’aucun papier.