«Il n’est pas question qu’on aille à l’élection présidentielle avec un fichier électoral tronqué, un fichier électoral de fraude», a martelé Me El Hadj Amadou Sall qui ne s’est montré nullement déboussolé par les grenades lacrymogènes que les forces de l’ordre leur ont jetées ce matin.
Droit dans ses bottes, le membre du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds) informe que les pluies de lacrymogène de ce vendredi ne seront rien comparées à celles à venir. Car, explique-t-il, «Macky partira».
Affirmant ne rien regretté, l’avocat donne rendez-vous pour une autre manifestation de ce genre puisque, le ministre de l’Intérieur, indique-t-il, «a donné la preuve qu'il est partisan. Et nous voulons que les élections soient organisées par quelqu'un de neutre et de consensuel. C'est ce que nous demandons». Et, tant qu’ils ne l’obtiendront pas, ils vont continuer à imposer au Président Sall un rapport de force.
Droit dans ses bottes, le membre du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds) informe que les pluies de lacrymogène de ce vendredi ne seront rien comparées à celles à venir. Car, explique-t-il, «Macky partira».
Affirmant ne rien regretté, l’avocat donne rendez-vous pour une autre manifestation de ce genre puisque, le ministre de l’Intérieur, indique-t-il, «a donné la preuve qu'il est partisan. Et nous voulons que les élections soient organisées par quelqu'un de neutre et de consensuel. C'est ce que nous demandons». Et, tant qu’ils ne l’obtiendront pas, ils vont continuer à imposer au Président Sall un rapport de force.