«Moi, groupe de mécaniciens aux Nations Unies, moi groupe de vendeurs de cacahuètes au Nations Unis, je vous demande d’arrêter», a déclaré Me El Hadji Diouf, un des avocats de l’Etat dans l’affaire l’opposant à Karim Wade. Et l’avocat de poursuivre : «Nous avons une justice, une institution judiciaire reconnue par notre Constitution. Le groupe de travail, un groupe d’amis. On ne sait même pas d’où ils viennent, s’ils sont crédibles ? Ont-ils l’expertise nécessaire ? Sont-ils corrompus, Qui les connait ? Est-ce-que ce groupe-là est au-dessus de la justice indépendante et souveraine du Sénégal indépendant ?».
Selon Me El Hadji Diouf, «l’Onu, ce n’est pas un groupe de travail, comme un groupe de travail dans un lycée, les universités, les associations privées. Donc, de la même façon que la Cedeao, l’Onu ne peut pas s’immiscer dans le fonctionnement normal de nos institutions judiciaires. Aucun organe de l’Onu n’a donné l’ordre au Sénégal de libérer Karim Wade. Il n’est pas un organe de délibération qui engage les pays du monde». Ce qui lui fait dire que : «ces gens-là ont perdu le nord. Ils s’accrochent à tout»
Selon Me El Hadji Diouf, «l’Onu, ce n’est pas un groupe de travail, comme un groupe de travail dans un lycée, les universités, les associations privées. Donc, de la même façon que la Cedeao, l’Onu ne peut pas s’immiscer dans le fonctionnement normal de nos institutions judiciaires. Aucun organe de l’Onu n’a donné l’ordre au Sénégal de libérer Karim Wade. Il n’est pas un organe de délibération qui engage les pays du monde». Ce qui lui fait dire que : «ces gens-là ont perdu le nord. Ils s’accrochent à tout»