«La situation est plus que difficile pour les zones insulaires qui sont confrontées à toutes sortes de problèmes dont la résolution dépasse les seules capacités des municipales», prévient le maire de Djembéring, qui invite «l’Etat à mettre d’urgence un programme de construction d’une digue bétonnée de Kabrousse à Kafountine pour sauver les îles».
Selon l’association qui défend les préoccupations des populations des 21 îles de la partie sud du pays, «l’érosion côtière va à une vitesse rapide avec en effet de 3 mètres de décapage par année dans certaines îles, alors que la moyenne, alors que la moyenne nationale est de 1, 5 mètres».
Sur ce, «il faut cette digue de protection bétonnée ou une disposition de rochers de Kafountine à Kabrousse en passant par Cap-Skirring pour sauver les îles», renseigne Tombon Guèye.
A en croire le titulaire d’un doctorat en environnement, hormis le besoin d’une digue, la Casamance a aussi besoin d’adduction en eau potable, de salinisation des sols et d’autres défis liés au désenclavement.
«L’hydraulique n’est pas encore une compétence transférée. Les îles sont entourées par l’océan. Ce qui fait qu’il est difficile de trouver de l’eau potable. Il faut une intervention étatique», relève-t-il.
Selon l’association qui défend les préoccupations des populations des 21 îles de la partie sud du pays, «l’érosion côtière va à une vitesse rapide avec en effet de 3 mètres de décapage par année dans certaines îles, alors que la moyenne, alors que la moyenne nationale est de 1, 5 mètres».
Sur ce, «il faut cette digue de protection bétonnée ou une disposition de rochers de Kafountine à Kabrousse en passant par Cap-Skirring pour sauver les îles», renseigne Tombon Guèye.
A en croire le titulaire d’un doctorat en environnement, hormis le besoin d’une digue, la Casamance a aussi besoin d’adduction en eau potable, de salinisation des sols et d’autres défis liés au désenclavement.
«L’hydraulique n’est pas encore une compétence transférée. Les îles sont entourées par l’océan. Ce qui fait qu’il est difficile de trouver de l’eau potable. Il faut une intervention étatique», relève-t-il.