L'ancien Chef d'état-major général des armées (Cemga), le Général Mamadou Mansour Seck s’est prononcé sur la menace terroriste présumée à la frontière entre le Sénégal et le Mali, suite à l’attaque de Diboli, une localité située à moins de deux kilomètres du Sénégal. « Il n'y a pas longtemps, j'ai dit quelque part, qu'ils sont à nos portes », a-t-il rappelé..
Bien que confiant dans la réactivité des forces de défense, l'ancien Cemga a appelé à une « vigilance constante, un renseignement renforcé et une implication accrue des populations ».
« Nos services de renseignement en savent plus que moi et vous, d'une part, et que cette zone a été complètement renforcée aussi bien par les Forces armées, les Armées et la Gendarmerie. Dans ce type de guerre, même aux États-Unis où l'on dépense presque 3 milliards de dollars pour la sécurité, on n'est jamais sûr que quelques individus armés aillent tirer quelque part. Dans cette affaire, il ne faut pas s'affoler, mais être en alerte permanente. Je crois que c'est la position du Sénégal et je fais confiance à nos forces de défense et de sécurité. Maintenant, il ne faut pas dormir sur nos lauriers, il ne faut pas attendre. J’en suis sûr que ce que vous me dites, les forces de sécurité, surtout le renseignement sont bien au courant et que des mesures sont prises», a soutenu le Général dans un entretien accordé au quotidien L’Observateur.
À la question de savoir si l’armée sénégalaise a -t-elle déjà été mobilisée, pour des opérations préventives sur nos frontières entre les pays limitrophes, dont le Mali, la Mauritanie et la Guinée. Le général a confié que « ça ne date pas d'aujourd'hui. Cette zone a été renforcée aussi bien par les armées que par la gendarmerie. Je suis sûr que les forces de sécurité sont en alerte et très conscientes de ce qui se passe ».
Selon le Général Mamadou Mansour Seck, « la surprise étant l'arme principale des terroristes, le renseignement est crucial pour anticiper et contrer les attaques. Estimant que le Sénégal, bien que membre observateur du G5 Sahel, devrait s'engager davantage, notamment en matière de renseignement. L'idéal serait de renforcer les capacités nationales et de travailler avec les autres pays de la région, malgré les difficultés liées aux disparités et aux divergences politiques au sein de la CEDEAO ».
Bien que confiant dans la réactivité des forces de défense, l'ancien Cemga a appelé à une « vigilance constante, un renseignement renforcé et une implication accrue des populations ».
« Nos services de renseignement en savent plus que moi et vous, d'une part, et que cette zone a été complètement renforcée aussi bien par les Forces armées, les Armées et la Gendarmerie. Dans ce type de guerre, même aux États-Unis où l'on dépense presque 3 milliards de dollars pour la sécurité, on n'est jamais sûr que quelques individus armés aillent tirer quelque part. Dans cette affaire, il ne faut pas s'affoler, mais être en alerte permanente. Je crois que c'est la position du Sénégal et je fais confiance à nos forces de défense et de sécurité. Maintenant, il ne faut pas dormir sur nos lauriers, il ne faut pas attendre. J’en suis sûr que ce que vous me dites, les forces de sécurité, surtout le renseignement sont bien au courant et que des mesures sont prises», a soutenu le Général dans un entretien accordé au quotidien L’Observateur.
À la question de savoir si l’armée sénégalaise a -t-elle déjà été mobilisée, pour des opérations préventives sur nos frontières entre les pays limitrophes, dont le Mali, la Mauritanie et la Guinée. Le général a confié que « ça ne date pas d'aujourd'hui. Cette zone a été renforcée aussi bien par les armées que par la gendarmerie. Je suis sûr que les forces de sécurité sont en alerte et très conscientes de ce qui se passe ».
Selon le Général Mamadou Mansour Seck, « la surprise étant l'arme principale des terroristes, le renseignement est crucial pour anticiper et contrer les attaques. Estimant que le Sénégal, bien que membre observateur du G5 Sahel, devrait s'engager davantage, notamment en matière de renseignement. L'idéal serait de renforcer les capacités nationales et de travailler avec les autres pays de la région, malgré les difficultés liées aux disparités et aux divergences politiques au sein de la CEDEAO ».