Les sanctions annoncées par la « dame de fer » lors de sa visite à l’usine de Keur Momar Sarr sise à Louga qui assoiffe les dakarois depuis près de deux semaines, ont pour effet de faire monter au créneau les responsables de la Sénégalaise des Eaux (SDE) qui balancent.
En effet, en ce qui concerne la soif de mise à Dakar et environs, la SDE dit avoir saisi la SONES par le biais d’une lettre à son Directeur Général qui n’est autre qu’Abdourahmane Diouf à la tête de la Société Nationale des Eaux du Sénégal encore en mars 2013.
«La SDE a bel et bien écrit une lettre à la SONES le 12 mars 2013, la missive a été reçue par le DG de la SONES d’alors Abdourahmane Diouf le mercredi 20 mars soit huit (8) jours après. Lorsqu’il l’a reçue, il l’a traitée en deux (2) jours (du 20 au 22 mars) avant de voyager pour reprendre service le 3 avril, le jour même de son limogeage à la tête de la SONES », murmurent des sources qui précisent « qu’avant de partir, l’ancien DG de la SONES avait exploité la lettre avec ses collaborateurs. Il avait même touché toutes les hiérarchies de la société du DG adjoint aux deux directeurs qui s’occupaient de ces dossiers. Des décisions majeures avaient été prises, la première de contacter Degremont (la société française qui a fait les tuyaux) en plus d’instructions fermes pour le suivi avec des annotations bien précises dans la dite lettre » allant même à une visite à Keur Momar Sarr.
Des mesures qui semblent avoir disparu dans la nature du fait de cette précision de taille de la remplaçante du rewmiste, Anta Seck, nouvelle Directrice de la SONES qui dit « n’être pas au courant d’une telle lettre ».
Ceci, au moment où la lettre est dans le circuit de l’Etat note le journal « l’observateur » qui ne manque pas de mettre en exergue les « non dits » dans l’affaire en soulignant le plus cocasse dans le contenu de la dite lettre.
« A la date du 15 mars 2013, nous avons connu à nouveau un incident sur la conduite d’eau » sur une lettre écrite trois (3) jours avant à savoir le 12 mars par la SDE qui « n’ayant pas obtenu de réponses aurait dû relancer la SONES à la suite du changement de DG intervenu ».
En effet, en ce qui concerne la soif de mise à Dakar et environs, la SDE dit avoir saisi la SONES par le biais d’une lettre à son Directeur Général qui n’est autre qu’Abdourahmane Diouf à la tête de la Société Nationale des Eaux du Sénégal encore en mars 2013.
«La SDE a bel et bien écrit une lettre à la SONES le 12 mars 2013, la missive a été reçue par le DG de la SONES d’alors Abdourahmane Diouf le mercredi 20 mars soit huit (8) jours après. Lorsqu’il l’a reçue, il l’a traitée en deux (2) jours (du 20 au 22 mars) avant de voyager pour reprendre service le 3 avril, le jour même de son limogeage à la tête de la SONES », murmurent des sources qui précisent « qu’avant de partir, l’ancien DG de la SONES avait exploité la lettre avec ses collaborateurs. Il avait même touché toutes les hiérarchies de la société du DG adjoint aux deux directeurs qui s’occupaient de ces dossiers. Des décisions majeures avaient été prises, la première de contacter Degremont (la société française qui a fait les tuyaux) en plus d’instructions fermes pour le suivi avec des annotations bien précises dans la dite lettre » allant même à une visite à Keur Momar Sarr.
Des mesures qui semblent avoir disparu dans la nature du fait de cette précision de taille de la remplaçante du rewmiste, Anta Seck, nouvelle Directrice de la SONES qui dit « n’être pas au courant d’une telle lettre ».
Ceci, au moment où la lettre est dans le circuit de l’Etat note le journal « l’observateur » qui ne manque pas de mettre en exergue les « non dits » dans l’affaire en soulignant le plus cocasse dans le contenu de la dite lettre.
« A la date du 15 mars 2013, nous avons connu à nouveau un incident sur la conduite d’eau » sur une lettre écrite trois (3) jours avant à savoir le 12 mars par la SDE qui « n’ayant pas obtenu de réponses aurait dû relancer la SONES à la suite du changement de DG intervenu ».