Mankeur Ndiaye a fait ces précisions lors du vote du budget du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'extérieur. Et la tutelle n'a pas manqué de parler de "mesures drastiques" en train d'être prises pour "corriger les lacunes" rencontrées dans l'organisation du Hajj. Un organe de régulation prévu en lieu et place du commissariat au pèlerinage, le ministre indique que "le président de la République a demandé au Premier ministre de coordonner un un groupe de travail qui va réfléchir sur une batterie de propositions sur la base de laquelle, nous organiserons une large concertation nationale avec tous les acteurs, incluant tous les anciens commissaires pour voir comment désormais organiser notre pèlerinage".
Mankeur Ndiaye est d'avis que "la durée (du pèlerinage) est trop longue". Dans l'entendement du Chef de la diplomatie sénégalaise, il est nécessaire de revoir cette durée car dit-il: "Un mois à La Mecque, c'est bien mais c'est beaucoup...Il est arrivé que des pèlerins mendient dans la rue pour pouvoir manger...". Dans un autre volet, le budget du ministères des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'extérieur a été arrêté à 57, 499 milliards contre 48,385 milliards en 2015.
Mankeur Ndiaye est d'avis que "la durée (du pèlerinage) est trop longue". Dans l'entendement du Chef de la diplomatie sénégalaise, il est nécessaire de revoir cette durée car dit-il: "Un mois à La Mecque, c'est bien mais c'est beaucoup...Il est arrivé que des pèlerins mendient dans la rue pour pouvoir manger...". Dans un autre volet, le budget du ministères des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'extérieur a été arrêté à 57, 499 milliards contre 48,385 milliards en 2015.