Nous sonnions l’alerte pas plus tard que le 11 septembre dernier. Le fleuve Sénégal qui grossit depuis le début de l’hivernage a fini de quitter son lit naturel. A l’heure actuelle, on a largement dépassé le code d’alerte de 8 m, populations et riziculteurs des localités situées le long de la rive vivent dans la peur d’être envahis.
Une situation que vient constater le ministre des Infrastructures, Thierno Alassane Sall qui lâche.
« C’est une situation assez désolante parce que pour venir ici, nous-mêmes nous avons dû faire un contournement de plus de 22 km alors qu’en temps normal, nous aurions parcouru que 3 km. Ça, c’est un gros problème mais le plus gros problème, c’est l’impact sur la vie des populations, leur santé mais surtout l’économie. Nous apercevons derrière nous des sacs d’engrais qui ne peuvent pas être livrés à temps pour pouvoir servir. Donc, les rendements en seront affectés et les populations restent dans un cycle de pauvreté. Sans compter que la plupart des périmètres irrigués sont inondés et qu’il faut reprendre » lors de sa visite dans le département de Podor où il n’a pas manqué de promettre.
« Je puis dire en ce qui concerne les infrastructures routières, nous allons prendre l’engagement ici de les réaliser d’ici l’année prochaine. Cette année manifestement c’est un peut trop tard mais après la saison des pluies, les marchés seront lancés pour pouvoir faire un travail assez proche du plan pour qu’on ne revive pas la même situation dans deux (2), trois (3) ans ».
Une situation que vient constater le ministre des Infrastructures, Thierno Alassane Sall qui lâche.
« C’est une situation assez désolante parce que pour venir ici, nous-mêmes nous avons dû faire un contournement de plus de 22 km alors qu’en temps normal, nous aurions parcouru que 3 km. Ça, c’est un gros problème mais le plus gros problème, c’est l’impact sur la vie des populations, leur santé mais surtout l’économie. Nous apercevons derrière nous des sacs d’engrais qui ne peuvent pas être livrés à temps pour pouvoir servir. Donc, les rendements en seront affectés et les populations restent dans un cycle de pauvreté. Sans compter que la plupart des périmètres irrigués sont inondés et qu’il faut reprendre » lors de sa visite dans le département de Podor où il n’a pas manqué de promettre.
« Je puis dire en ce qui concerne les infrastructures routières, nous allons prendre l’engagement ici de les réaliser d’ici l’année prochaine. Cette année manifestement c’est un peut trop tard mais après la saison des pluies, les marchés seront lancés pour pouvoir faire un travail assez proche du plan pour qu’on ne revive pas la même situation dans deux (2), trois (3) ans ».