Aprés 15 mois de régne de l'actuel régime le constat est là: "Rien de concret. Pas même un plus petit emploi créé. Le monde rural se plaint de la mauvaise qualité et du coût exorbitant des semence tardivement distribués, les sénégalais se sentent abandonnés et constatent le reniement progressif du gouvernement par rapport aux engagements pré-électoraux", souligne la FNCL dont fait partie Abdou Khafor Touré qui s'offusque de la promesse du président Sall qui avait assuré des "économies de 120 milliards de F CFA en plus d'une baisse substancielle des denrées de première nécessité et de 100.000 nouveaux emplois par an.
"Aujourd'hui, au lieu d'honorer ses engagements, l'Etat embourbe l'économie dans une morosité qui frise la récession avec un déficit d'investissements, une dette intérieure toujours prégnante mais aussi une forte baisse de la commande publique", lâche le responsable libéral qui est loin d'en avoir fini avec "la baisse continue des recettes fiscales et douanières alors que le rapport synthétique sur la situation d'éxecution du budget de l'Etat du 31 mars 2013 qui apprend que par rapport au premier trimestre de 2012, les recettes fiscales et non fiscales ont progressé de 5,2 milliards soit 1,7 %".
Une situation qui oblige "tous les mois, le gouvernement a emprunté 25 milliards". Et ce, pour être "en mesure de payer les salaires" selon le porte-parole des cadres libéraux qui ne manque pas de prédire qu'"à ce rythme, le pays va droit vers le chaos" tout en donnant une leçon de gestion au président Sall sur les colonnes du journal "Le Quotidien" où il précise que l'argent généré par les emprunts obligataire ne doit servir qu'à faire face aux charges de fonctionnement de l'Etat notamment à travers le soutien d'investissements structurants, ce qui crée la valeur ajoutée pour l'économie nationale tout en suggèrant au nouveau régime de "s'employer à corriger cette situation au lieu de jeter son dévolu sur le PDS".
"Aujourd'hui, au lieu d'honorer ses engagements, l'Etat embourbe l'économie dans une morosité qui frise la récession avec un déficit d'investissements, une dette intérieure toujours prégnante mais aussi une forte baisse de la commande publique", lâche le responsable libéral qui est loin d'en avoir fini avec "la baisse continue des recettes fiscales et douanières alors que le rapport synthétique sur la situation d'éxecution du budget de l'Etat du 31 mars 2013 qui apprend que par rapport au premier trimestre de 2012, les recettes fiscales et non fiscales ont progressé de 5,2 milliards soit 1,7 %".
Une situation qui oblige "tous les mois, le gouvernement a emprunté 25 milliards". Et ce, pour être "en mesure de payer les salaires" selon le porte-parole des cadres libéraux qui ne manque pas de prédire qu'"à ce rythme, le pays va droit vers le chaos" tout en donnant une leçon de gestion au président Sall sur les colonnes du journal "Le Quotidien" où il précise que l'argent généré par les emprunts obligataire ne doit servir qu'à faire face aux charges de fonctionnement de l'Etat notamment à travers le soutien d'investissements structurants, ce qui crée la valeur ajoutée pour l'économie nationale tout en suggèrant au nouveau régime de "s'employer à corriger cette situation au lieu de jeter son dévolu sur le PDS".