Il faut dire que la situation est très compliquée, car la famille du défunt refuse de toucher à dépouille, tant qu’une autopsie ne sera pas au préalable faite. Sa famille souffle des sources proches de cette affaire, a dit qu’elle ne touchera pas au corps qui est mis à sa disposition par le médecin-chef du district sanitaire de Kédougou, tant qu’une autopsie et un certificat de genre de mort en bonne et due forme, déterminant les causes exactes du décès, n’auront pas été établis. Cette requête qui semble être entendu par le comité de lutte des droits de l’homme. Selon Alioune Tine, toutes les précautions ont été prises pour qui rien n'entrave la procédure. Le président du comité des droit de l’homme de renseigner qu’"ils ont été saisis par les organisations de la société civile qui "nous ont dit effectivement qu’il y’avait des problèmes concernant le certificat de genre de mort qui n’a pas été délivrer aux parents, ni d’autopsie".
Sur cette question, lance-t-il, "nous venons de saisir le ministère de la Justice et les autorités concernées. Et effectivement cela va être fait. On va donner les instructions rapidement pour qu’on délivre le certificat de genre de mort et également qu’on fasse l’autopsie pour vraiment suivre l’affaire jusqu’au bout. Quant effectivement à la personne incriminée, elle a été arrêtée et sera jugée conformément à la loi".
Sur cette question, lance-t-il, "nous venons de saisir le ministère de la Justice et les autorités concernées. Et effectivement cela va être fait. On va donner les instructions rapidement pour qu’on délivre le certificat de genre de mort et également qu’on fasse l’autopsie pour vraiment suivre l’affaire jusqu’au bout. Quant effectivement à la personne incriminée, elle a été arrêtée et sera jugée conformément à la loi".