L'Institut d'études politiques du nom du premier président du Sénégal indépendant lancé sous le théme, "Ethique dans la gouvernace institutionnelle, l'exemple de Léopold Sédar Senghor", le président de l'Assemblée nationale, Moustapha Niasse a profité de l'occasion pour administrer un véritable cours magistral au président Macky Sall.
En effet, le leader de l'AFP pour qui, "Senghor, une aune centrale qui ne savait que faire des 500 millions que lui avait offert le roi d'Arabie saoudite au moment de sa retraite, dirigeait le pays dans la vertu et la transparence en faisant du Sénégal une affaire de tous et non pas d'une famille et qui avait une philosophie à savoir, en politique, l'ennemi, c'est la famille", "il vaut mieux autant qu'on le peut, éloigner sa famille quand on est un dirigeant politique parce qu'après, s'il y a des dégâts, il y a les verticaux, les latéraux, les obliques, les directs et les indirects"
A ce propos, au moment où certains dénoncent la "dynastie Faye-Sall", il a tenu à rappeler au président Sall, "un état moderne et viable,...est un écart de la famille", tout en critiquant "la manière de gouverner qui a débuté avec l'accession de Wade à la magistrature Suprême avec la nomination de son fils comme le ministre du ciel et de la terre".
En effet, le leader de l'AFP pour qui, "Senghor, une aune centrale qui ne savait que faire des 500 millions que lui avait offert le roi d'Arabie saoudite au moment de sa retraite, dirigeait le pays dans la vertu et la transparence en faisant du Sénégal une affaire de tous et non pas d'une famille et qui avait une philosophie à savoir, en politique, l'ennemi, c'est la famille", "il vaut mieux autant qu'on le peut, éloigner sa famille quand on est un dirigeant politique parce qu'après, s'il y a des dégâts, il y a les verticaux, les latéraux, les obliques, les directs et les indirects"
A ce propos, au moment où certains dénoncent la "dynastie Faye-Sall", il a tenu à rappeler au président Sall, "un état moderne et viable,...est un écart de la famille", tout en critiquant "la manière de gouverner qui a débuté avec l'accession de Wade à la magistrature Suprême avec la nomination de son fils comme le ministre du ciel et de la terre".