Des organisations non-gouvernementales qui évacuent leur personnel en poste dans les secteurs de Maradi et de Zinder. Des ambassades étrangères qui demandent à leurs ressortissants d'éviter ces zones. Décidément, le climat d'insécurité dans la région préoccupe, et les dernières menaces d'AQMI sont prises très au sérieux.
C’est ce que confirme Bernard Valéro porte-parole du ministère français des Affaires étrangères qui rappelle les précédents : « Souvenez-vous, il y a quelques semaines à peine, notre compatriote Michel Germaneau a été assassiné de manière sauvage par des gens se réclamant d’AQMI. Nous devons et c’est ce que nous faisons, prendre toute les mesures qui nous permettent d’assurer la sécurité de nos compatriotes ».
Pour les autorités nigériennes, la situation est sous contrôle, et amplifier les menaces d'AQMI, c'est faire le jeu des terroristes. Pour Mahamane Laouali Dan Dah, porte-parole du gouvernement : « La situation est sous contrôle. Les humanitaires n’ont pas de crainte à avoir. Même les zones qui ont été considérées pendant longtemps comme étant des zones exposées aux attaques de groupes terroristes sont des zones qui sont totalement contrôlées par le gouvernement. Et si nous on continue à interpréter ces évènements là avec gravité, eh bien, quelque part, on apporte du grain à moudre aux terroristes. Parce que, ce qu’ils cherchent avant tout, c’est créer la psychose », conclut-il.
C’est ce que confirme Bernard Valéro porte-parole du ministère français des Affaires étrangères qui rappelle les précédents : « Souvenez-vous, il y a quelques semaines à peine, notre compatriote Michel Germaneau a été assassiné de manière sauvage par des gens se réclamant d’AQMI. Nous devons et c’est ce que nous faisons, prendre toute les mesures qui nous permettent d’assurer la sécurité de nos compatriotes ».
Pour les autorités nigériennes, la situation est sous contrôle, et amplifier les menaces d'AQMI, c'est faire le jeu des terroristes. Pour Mahamane Laouali Dan Dah, porte-parole du gouvernement : « La situation est sous contrôle. Les humanitaires n’ont pas de crainte à avoir. Même les zones qui ont été considérées pendant longtemps comme étant des zones exposées aux attaques de groupes terroristes sont des zones qui sont totalement contrôlées par le gouvernement. Et si nous on continue à interpréter ces évènements là avec gravité, eh bien, quelque part, on apporte du grain à moudre aux terroristes. Parce que, ce qu’ils cherchent avant tout, c’est créer la psychose », conclut-il.