Des boursiers nigériens qui étudient à l'étranger lancent un appel : dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, plusieurs associations estudiantines nigériennes alertent sur d'importants retards de paiement de leurs bourses et allocations. Les étudiants interpellent les autorités du Niger et leur demandent de trouver une solution pour qu'ils puissent poursuivre sereinement leurs études.
C'est un « cri du cœur collectif » que lancent les associations d'étudiants du Niger au Maroc, en Tunisie, au Sénégal, en Turquie, en Russie. Face camera, devant un drapeau nigérien ou un tableau blanc, leurs représentants alertent sur des retards conséquents dans le paiement des bourses et allocations : jusqu'à un an et demi. Certains n'ont rien touché depuis le versement de la première tranche 2023-2024, alors qu'ils sont loin de leur famille.
La Tunisie, par exemple, compte près de 1 000 étudiants nigériens, selon les chiffres de leur association. La majorité sont boursiers. Ils doivent toucher jusqu'à 600 000 francs CFA par trimestre (environ 900 euros).
C'est un « cri du cœur collectif » que lancent les associations d'étudiants du Niger au Maroc, en Tunisie, au Sénégal, en Turquie, en Russie. Face camera, devant un drapeau nigérien ou un tableau blanc, leurs représentants alertent sur des retards conséquents dans le paiement des bourses et allocations : jusqu'à un an et demi. Certains n'ont rien touché depuis le versement de la première tranche 2023-2024, alors qu'ils sont loin de leur famille.
La Tunisie, par exemple, compte près de 1 000 étudiants nigériens, selon les chiffres de leur association. La majorité sont boursiers. Ils doivent toucher jusqu'à 600 000 francs CFA par trimestre (environ 900 euros).