Les journalistes sont exposés à un danger imminent parce qu’aujourd’hui, on leur demande avant de partager un travail ou une publication d’un de leurs confrères, de faire un travail préalable de vérification.
Pourtant, en faisant le partage, ils publient la source de cette information. Donc, c’est une façon de dire aux journalistes: ‘Taisez-vous, vous n’avez plus le droit d’informer l’opinion, vous avez plus le droit d’exercer votre métier’. Cette loi sur la cybercriminalité, qui est trop liberticide, qui remet en cause certains valeurs, certains acquis démocratiques sur l’État de droit, comporte beaucoup de lacunes.
Ces faits normalement ne doivent même pas tomber sur le coup de cette loi. C’est parce qu’on sait pertinemment qu’il y a des textes qui dépénalisent les infractions commises par voie de presse. Donc, on cherche un raccourci pour faire application de la loi sur la cybercriminalité parce qu’il y a eu des publications sur Facebook en ignorant le métier, ils ont fait le partage en tant que journalistes et cette qualité doit être prise en considération pour faire application de la loi.
Pourtant, en faisant le partage, ils publient la source de cette information. Donc, c’est une façon de dire aux journalistes: ‘Taisez-vous, vous n’avez plus le droit d’informer l’opinion, vous avez plus le droit d’exercer votre métier’. Cette loi sur la cybercriminalité, qui est trop liberticide, qui remet en cause certains valeurs, certains acquis démocratiques sur l’État de droit, comporte beaucoup de lacunes.
Ces faits normalement ne doivent même pas tomber sur le coup de cette loi. C’est parce qu’on sait pertinemment qu’il y a des textes qui dépénalisent les infractions commises par voie de presse. Donc, on cherche un raccourci pour faire application de la loi sur la cybercriminalité parce qu’il y a eu des publications sur Facebook en ignorant le métier, ils ont fait le partage en tant que journalistes et cette qualité doit être prise en considération pour faire application de la loi.