Il a plu presque tous les jours depuis le 30 septembre sur la région d'Agadez, les dégats humains et matériels ne cessent d'augmenter. « Les maraîchers, nos jardins son partis, explique le présiednt du conseil régional d’Agadez Mohammed Anako, joint par Victor Mauriat, du service Afrique de RFI. Des habitations sont tombées. Des animaux sont transportés par des écoulements des massifs. »
Les berges ont été submergées par les crues des kori, ces petites cours d’eau venus des montagnes, autour desquels s'étaient établis les éleveurs mais aussi les maraîchers. « Les kori ont tout emporté, constate Ibrahim Asalek de l’ONG nigérienne HED-Tamat. Cela va faire un gros manque à gagner pour beaucoup de personnes dans les communes comme ici à côté d'Agadez. »
Secours ralentis
Les routes, souvent bloquées et impraticables, ralentissement le processus d’aide. De plus, le groupement des sapeurs-pompiers de la ville s’est lui aussi fait surprendre par la rapidité de l’inondation.
Les berges ont été submergées par les crues des kori, ces petites cours d’eau venus des montagnes, autour desquels s'étaient établis les éleveurs mais aussi les maraîchers. « Les kori ont tout emporté, constate Ibrahim Asalek de l’ONG nigérienne HED-Tamat. Cela va faire un gros manque à gagner pour beaucoup de personnes dans les communes comme ici à côté d'Agadez. »
Secours ralentis
Les routes, souvent bloquées et impraticables, ralentissement le processus d’aide. De plus, le groupement des sapeurs-pompiers de la ville s’est lui aussi fait surprendre par la rapidité de l’inondation.