Selon Nnamdi Omoni, le porte-parole de la police de Rivers, cet assassinat est l'œuvre des membres présumés du mouvement indépendantiste pour les peuples indigènes du Biafra (IPOB) qui s'étaient emparés de son arme".
Plusieurs policiers ont également été blessés et un fourgon de police brûlé lors de l'incident.
"Neuf suspects" ont été arrêtés dans la foulée, a révélé l'officier de police.
Une autre attaque produite mardi à l'école de police de Port Harcourt, faisant plusieurs blessés dans les rangs de la police, était suivie de l'arrestation de vingt-trois personnes.