La marche prévue ce vendredi 27 décembre à Guédiawaye (banlieue dakaroise) par le collectif Noo Lank pour dénoncer la hausse du prix de l’électricité, n’aura pas lieu. L’annonce a été faite par les responsables locaux du collectif, suite à la non-recevabilité de leur demande d’autorisation par le préfet de ce département, Chérif Blondé Ndiaye. Toutefois, ils mettent en garde ce dernier contre toute manœuvre pour empêcher la nouvelle manifestation, vendredi prochain dont la demande sera déposée dès aujourd’hui.
« Il (le préfet) nous a dit que nous n'avons pas pris le délais maximum, mais il ne nous convient pas parce que nous avons déposé notre demande depuis mardi », a déclaré le coordonnateur départemental du collectif Noo Lank à Guédiawaye. Néanmoins, a fait savoir Khadim Lô, « Nous allons respecter sa décision».
La raison, a-t-il expliqué : « Nous sommes des Républicains, nous ne voulons pas détruire ce pays parce qu'il nous appartient ». Il a par ailleurs annoncé, que le collectif va dès aujourd'hui, vendredi 27 décembre déposer une nouvelle demande d'autorisation pour la marche de vendredi prochain.
Toutefois, Lô et ses camardes mettent en garde le préfet contre toute tentative de leur barrer la route pour la prochaine marche: « Il a intérêt de nous encadrer vendredi prochain. Parce que la marche, c’est un droit qu’on ne négocie pas et on l’arrache ».
« Il (le préfet) nous a dit que nous n'avons pas pris le délais maximum, mais il ne nous convient pas parce que nous avons déposé notre demande depuis mardi », a déclaré le coordonnateur départemental du collectif Noo Lank à Guédiawaye. Néanmoins, a fait savoir Khadim Lô, « Nous allons respecter sa décision».
La raison, a-t-il expliqué : « Nous sommes des Républicains, nous ne voulons pas détruire ce pays parce qu'il nous appartient ». Il a par ailleurs annoncé, que le collectif va dès aujourd'hui, vendredi 27 décembre déposer une nouvelle demande d'autorisation pour la marche de vendredi prochain.
Toutefois, Lô et ses camardes mettent en garde le préfet contre toute tentative de leur barrer la route pour la prochaine marche: « Il a intérêt de nous encadrer vendredi prochain. Parce que la marche, c’est un droit qu’on ne négocie pas et on l’arrache ».