Les patriotes retranchés à Yopougon, fief de l’ex-majorité présidentielle, résistent encore avec peut-être à leurs côtés quelques mercenaires qui avaient été recrutés par Laurent Gbagbo.
Les échanges de tirs, parfois à l'arme lourde, ont lieu régulièrement entre ces paramilitaires et les FRCI (Forces républicaines de Côte d’Ivoire). Comme dans la journée d’hier ou encore très tôt aujourd'hui, mercredi 20 avril, des témoins entendaient encore des tirs en milieu de matinée.
Selon certaines sources, les tirs de ce matin provenaient de la zone entourant l’école de la marine où les patriotes s’approvisionneraient encore en armes et en munitions. Cette école de la marine n’est pas encore tombée sous le contrôle des FRCI.
Par ailleurs, un autre secteur semble être l'antre des patriotes armés. Il s’agit de tout le quartier entourant le palais de justice de Yopougon.
Au-delà des affrontements qui les opposent aux FRCI, les patriotes continuent de semer la terreur au sein de la population de Yopougon en pillant comme hier, près du palais de justice et du marché avoisinant. Les multiples appels qui leurs sont lancés pour qu’ils déposent les armes restent vains.
Les échanges de tirs, parfois à l'arme lourde, ont lieu régulièrement entre ces paramilitaires et les FRCI (Forces républicaines de Côte d’Ivoire). Comme dans la journée d’hier ou encore très tôt aujourd'hui, mercredi 20 avril, des témoins entendaient encore des tirs en milieu de matinée.
Selon certaines sources, les tirs de ce matin provenaient de la zone entourant l’école de la marine où les patriotes s’approvisionneraient encore en armes et en munitions. Cette école de la marine n’est pas encore tombée sous le contrôle des FRCI.
Par ailleurs, un autre secteur semble être l'antre des patriotes armés. Il s’agit de tout le quartier entourant le palais de justice de Yopougon.
Au-delà des affrontements qui les opposent aux FRCI, les patriotes continuent de semer la terreur au sein de la population de Yopougon en pillant comme hier, près du palais de justice et du marché avoisinant. Les multiples appels qui leurs sont lancés pour qu’ils déposent les armes restent vains.