«L’opération que nous faisons n’est pas uniquement destinée à ce marché. Notre opération va se poursuivre tout au long de notre mandature», a d’emblée déclaré le maire des Hlm, Babacar Sadikh Seck qui se prononçait suite aux opérations initiées pour désencombrer sa commune. Revenant sur les allégations selon lesquelles les marchands n’ont pas été informés, le maire rétorque : «S’ils disent qu’ils ne sont pas au courant, c’est parce qu’ils ne veulent pas être au courant. Nous avons fait passer le communiqué dans trois organes de presse, quinze jours avant».
L’édile des Hlm a tenu à lancer un avertissement aux marchands qui ont déclaré qu’ils n’allaient pas évacuer les lieux : «ils ont dit qu’ils ne partiront pas, mais ils vont nous trouver sur leur chemin. Nous avons décidé d’être une mairie qui parle avec ses citoyens. Nous ne décidons pas dans un bureau. Et ce que nous faisons, c’est dans l’unanimité».
Le premier magistrat des Hlm s’est aussi prononcé sur l’accusation selon laquelle il aurait détruit une mosquée : «Je n’ai jamais détruit de mosquée», s’est-il défendu. Avant de marteler : «S’ils appellent mosquée ce lieu où les gens passent la nuit, où des garçons se retrouvent, je l’ai détruit. Ce qu’ils appellent mosquée n’en est pas une. C’est un lieu de rendez-vous».
L’édile des Hlm a tenu à lancer un avertissement aux marchands qui ont déclaré qu’ils n’allaient pas évacuer les lieux : «ils ont dit qu’ils ne partiront pas, mais ils vont nous trouver sur leur chemin. Nous avons décidé d’être une mairie qui parle avec ses citoyens. Nous ne décidons pas dans un bureau. Et ce que nous faisons, c’est dans l’unanimité».
Le premier magistrat des Hlm s’est aussi prononcé sur l’accusation selon laquelle il aurait détruit une mosquée : «Je n’ai jamais détruit de mosquée», s’est-il défendu. Avant de marteler : «S’ils appellent mosquée ce lieu où les gens passent la nuit, où des garçons se retrouvent, je l’ai détruit. Ce qu’ils appellent mosquée n’en est pas une. C’est un lieu de rendez-vous».