La cérémonie d’ouverture de la 4e édition de la Journée internationale des Gens de mer a été présidée ce matin par, le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime. Cette cérémonie riche en couleur a été aussi l’occasion pour Oumar Guèye de revenir sur les découvertes de gaz et de pétrole au large du Sénégal.
«Que Dieu nous préserve du syndrome des ressources naturelles qui aiguisent l’appétit. Pour parer à toute éventualité, il est nécessaire d’ouvrir de larges concertations avec l’ensemble des forces vives de la nation. Les frustrations, la mauvaise répartition des revenues, constituent souvent le lit de toutes les rebellions».
Mais ces ressources doivent aussi profiter avant tout aux gens de mer. Mais pour cela, il faut que certains problèmes soient résolus : «L’école nationale de formation maritime forme chaque année des officiers qui peinent à trouver un emploi à la fin de leur formation. Devant une telle situation, il urge de penser d’abord à la formation des formateurs mais également d’identifier et de promouvoir toutes les nouvelles opportunités qu’offrent ces découvertes», affirme-t-il.
Oumar Guèye est d’avis que c’est seulement en faisant cela que : «le modèle sénégalais pourrait retrouver sa place dans l’échiquier mondial».
«Que Dieu nous préserve du syndrome des ressources naturelles qui aiguisent l’appétit. Pour parer à toute éventualité, il est nécessaire d’ouvrir de larges concertations avec l’ensemble des forces vives de la nation. Les frustrations, la mauvaise répartition des revenues, constituent souvent le lit de toutes les rebellions».
Mais ces ressources doivent aussi profiter avant tout aux gens de mer. Mais pour cela, il faut que certains problèmes soient résolus : «L’école nationale de formation maritime forme chaque année des officiers qui peinent à trouver un emploi à la fin de leur formation. Devant une telle situation, il urge de penser d’abord à la formation des formateurs mais également d’identifier et de promouvoir toutes les nouvelles opportunités qu’offrent ces découvertes», affirme-t-il.
Oumar Guèye est d’avis que c’est seulement en faisant cela que : «le modèle sénégalais pourrait retrouver sa place dans l’échiquier mondial».